poème argentique
Les heures passentd’est en ouest
par la fenêtre ouverte
miroir sans tain
tandis que le printemps
sous le film du jour
dilate sa masse de pollen et babil
comme un corps dans sa housse.
A la lumière centrifuge
les pas de ronde s’effilochent
retombent en pruine sur les murs
poussière d’empreintes
voix de conque
qui des unes
aux autres
s’éteignent
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