411
esquisse langoureux voix vent entrailles édifice oeuvre lune louve muedes entrailles à l’œil de l’édifice à l’oeuvre
j’ai fais veux de tristesse puis d’effacement
l’esquisse d’un sourire et des yeux de ciment
permettent de cacher endogènes manœuvres
la fête me fait mal paraître me dégoûte
ne suis vraiment chez moi que dans art et pensée
et mon corps est un squat appartient au passé
j’y passe en coup de vent me glisse entre les gouttes
pourtant ça tonne en haut une voix furieuse
m’enjoint d’écrire encor de créer à la mort
quand la lune se mue en curieux décors
pour la pièce où je joue une vie plus rieuse
je vous jure que j’ai vu des contrées sidérales
mon cerveau est un temple où rêves langoureux
où louves et ruisseaux et lendemains heureux
m’ont perdu et trouvé ma terre est cérébrale
Fil complet:
- 411 -
Les mots de Cécile,
25/04/2020, 21:42
- Les mots de Céciles - 411, 25/04/2020, 21:43
- 411 - sobac, 26/04/2020, 10:45
- 411 - sobac, 26/04/2020, 12:03
- 411 - Périscope, 26/04/2020, 18:44
- 411 - Périscope, 27/04/2020, 18:56