2 poèmes.
quand il fallait marcher
mon goût allait à des audaces périphériques
maintenant que le danger est éteint
je vois le fond et le comble de la chambre
où passent les veinules d'un marbre seul
d'aucune matière qui ne conçoit
la réalité d'elle-même
le rêve n'a pas besoin de se tremper dans un élément
les distances que conçoivent les bordures
ont le cuivre pour seule nourriture
**
tout est étendu
les combats et les ancrages
sont dans le lointain qui dévale
comme un souvenir de lierre et d'autres pierres
qui se précisent dans un lavoir
une terre recueillie qui ne souffre
tout est linéaire ainsi qu'un algorithme
une clarté soudaine vient défier les paysages
des images plus riches qu'un oeil lunaire
des bêtes dans un panorama qui éveille
par ses tonalités méridionales ses palettes
sans aucune science ni savoir
que la pure pulsation de l'image
je suis ainsi le corps ultime.
mon goût allait à des audaces périphériques
maintenant que le danger est éteint
je vois le fond et le comble de la chambre
où passent les veinules d'un marbre seul
d'aucune matière qui ne conçoit
la réalité d'elle-même
le rêve n'a pas besoin de se tremper dans un élément
les distances que conçoivent les bordures
ont le cuivre pour seule nourriture
**
tout est étendu
les combats et les ancrages
sont dans le lointain qui dévale
comme un souvenir de lierre et d'autres pierres
qui se précisent dans un lavoir
une terre recueillie qui ne souffre
tout est linéaire ainsi qu'un algorithme
une clarté soudaine vient défier les paysages
des images plus riches qu'un oeil lunaire
des bêtes dans un panorama qui éveille
par ses tonalités méridionales ses palettes
sans aucune science ni savoir
que la pure pulsation de l'image
je suis ainsi le corps ultime.