et-cetera
voila revenu le temps de la suitequand le jour se joue des ombres
d’un matin chassé-croisé
d’êtres prêts à recommencer encore
les sautes d’humeur liées
aux aberrations existentielles
vient s’ajouter dans ce méli-mélo
la soif inextinguible et-cetera
du déjà vu du déjà vécu
des heures paresseuses d’horloge
d’une fin d’été précoce
pour cause de temps immobile
ensuite, devient la norme infligée
les visages hagards se croisent
jouxtant des rives en jachères
des mots absents d’un langage
ou les accents s’interpellent
mais et-cetera déjà refait surface
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