Poésie subtile 2
Je regardais récemment les seins d’une très grosse dame , une vache à lait
Elle présentait un décolleté grand comme ses fesses
Avec beaucoup d’evidence pour qu’on le remarquât
Je lui fis compliment de ses deux pastëques
« Que vous avez de grands seins
« Sans frémir , si ma bite grande comme un concombre
« Ne fut avalée par vos seins mouvants
« Je l’eusse d’emblée mise au centre de ce bois »
Là mégère en fût surprise « Comment Monsieur le Renard
« Vous me permitâtes un pareil langage
« Ne puis-je montrer mon cul à la planète entière
« Et vous, faire semblant de ne point le remarquâtes ? »
Le Renard s’en saisit et dit
« Apprenez Madame du corbeau, que tout gros cul je le dit,
« Et que toute paire de seins vit au dépens d’être regardé.
« Vous ne puissiez me crier gare de dire ce que vous montrez »
Là dessus le Renard parti
Elle présentait un décolleté grand comme ses fesses
Avec beaucoup d’evidence pour qu’on le remarquât
Je lui fis compliment de ses deux pastëques
« Que vous avez de grands seins
« Sans frémir , si ma bite grande comme un concombre
« Ne fut avalée par vos seins mouvants
« Je l’eusse d’emblée mise au centre de ce bois »
Là mégère en fût surprise « Comment Monsieur le Renard
« Vous me permitâtes un pareil langage
« Ne puis-je montrer mon cul à la planète entière
« Et vous, faire semblant de ne point le remarquâtes ? »
Le Renard s’en saisit et dit
« Apprenez Madame du corbeau, que tout gros cul je le dit,
« Et que toute paire de seins vit au dépens d’être regardé.
« Vous ne puissiez me crier gare de dire ce que vous montrez »
Là dessus le Renard parti