1 + 1 = 1
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Les hommes parleront
Et leurs paroles ressembleront à leurs pensées
Les hommes penseront
Et leurs mots seront leurs pensées
Ils ne joueront pas
De l’âme les yeux seront le reflet
Les pas suivront naturellement les chemins
Les murs seront transparents
Quand nous dormirons nous dormirons
Les images enfin seront vides
Il n’y aura plus d’écho ni de rumeur
Tout sera mat au pays vrai
Les ombres seront vaincues
L’homme pourra se comparer à l’oiseau
Les bulles de l’air seront nos racines
Quand je prendrai ta main
Elle sera lourde et entière
Nous connaîtrons alors le suprême ennui
D’être nus
Les hommes parleront
Et leurs paroles ressembleront à leurs pensées
Les hommes penseront
Et leurs mots seront leurs pensées
Ils ne joueront pas
De l’âme les yeux seront le reflet
Les pas suivront naturellement les chemins
Les murs seront transparents
Quand nous dormirons nous dormirons
Les images enfin seront vides
Il n’y aura plus d’écho ni de rumeur
Tout sera mat au pays vrai
Les ombres seront vaincues
L’homme pourra se comparer à l’oiseau
Les bulles de l’air seront nos racines
Quand je prendrai ta main
Elle sera lourde et entière
Nous connaîtrons alors le suprême ennui
D’être nus