Humeurs
sur les terrasses
Et la Betyse aux yeux de poulpe et d'envie
se répand des verres de vin dans ses
tentacules basses
Sur les plages lavées
la Betyse se dénude
et je ne vois que la honte
qui me reflète
Dans une grotte à trouver
je m'enfuie pour converser
avec les araignées
dernière noblesse de l'espèce vivante
qui me prête son encre visqueuse
pour écrire ce chiasme testamentaire
Dehors hurle l'Ekonomie
qui enrage de bouffer que mon ombre