La femme blessée - delivre.net

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Chronologique

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Tes amantes passées t'ont laissé plus de désarroi que d'éden antérieur. Fragile psyché aux pensées délétères, tu vivais retirée dans un étrange rêve. Sur ta peau les stigmates d'une trop âpre étreinte témoignent d'un amour perdu dans le miroir. Reviens dans la vie et le monde coloré. Ta joie renaîtra tu sentiras le calme. Le bruit du temps sera doux et fertile comme l'eau d'une rivière et ma main sur ta peau.

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catrine et claire font exprès de ne pas commenter pour m'humilier.

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yo bébé,

qu'est-ce que tu t'en racontes des bobards gratuits, espèce de petite flanelle !
pis d'abord, est-ce que tu commentes mes textes, toi ? hein ? non.

ben alors c'est ça qui est ça hahahhaahaha !

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gnark gnark gnark....

(moi je préfère les hommes blessés, c'est pour ça)

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Pour revenir à ce que disait cat plus bas, ou plutôt à une question concernant des lettres-poèmes, ou des poèmes si explicitement adressés...je me rends compte à quel point j'ai évolué à ce sujet. L'art est aussi un lieu de rencontre entre personnes réelles, il n'a pas à s'en défendre, comme s'il y perdait quelque chose de sa pureté ou de son universalité...et je crois que ce qui me fait aimer tes poèmes pour m-a c'est aussi d'avoir lu les siens, dans leur maturité.

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(je n'ai pas dit qu'ils y perdaient quelque chose, j'ai dit que pour moi c'était difficile d'entrer là, et ça rend ces lectures d'autant plus intéressantes qu'elles me sont difficiles — j'ai tenté de dire pourquoi — et ça ne m'empêche pas d'apprécier les poèmes adressés à m.a.)

(pourquoi me trancher encore) ;)

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chacun n'en ferait-il pas qu'à sa tête, je dis ça (comme) par hasard hein, ici comme ailleurs ?
c'est une question que je me pose à la suite de message(s) d'un silence qui a étrangement disparu
on peut toutefois y lire l'essentiel ci-là : http://aufildelavie.hautetfort.com/
quant à savoir le (petit) pourquoi du (petit) comment, j'imagine que c'est comme adresser un message à la lune ?
quant aux lettres poèmes, d'accord mais qu'en est-il de l'universalité alors ?

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silence avait rassemblé en un seul tous ses poèmes successifs et proposé qu'on efface la longue suite. Ce n'est pas moi qui l'ai fait...mais c'est marrant je pensais que silence c'était toi.

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si tu es bien silence et que la suite est passée à la trappe par une erreur de manipulation je te propose de la reposter.
Moi, je n'effacerai pas de textes, en tout cas,...on a 4 heures pour le faire soi-même ou corriger, et le forum n'est pas une ardoise magique mais un endroit de publication, ouvert aux échanges.

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( :) )

non claire, merci.

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bon, peut-être que j'ai rien pigé, hein ! c'est aussi pour ça que je n'aime pas trop les effacements...

on n'y voit goutte dans ce galetas, dit la lune...

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..aaARrrghh...

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(cela ne m'étonne pas d'elle)

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(... ben y avait une demande d'effacement avec une liste et j'ai suivi la liste à la lettre en me disant que c’était un peu lourd et bon, that's it, paf crack, disparition binaire, comme ça on y pensera à deux fois avant d'écrire "on peut m'effacer ça et ceci et là et ici aussi, blabla-truc", moi je te fais ça en vidant les spams, hop ! et ça me met de mauvais poil ! *#%}^£¥!!!* )

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- message effacé-

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de la merde ? ah non, là tu exagères....c'est marrant parce que toute cette série de posts nébuleux au sujet d'effacements s'appelle "sublimation" ......de l'état solide à l'état gazeux.

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aahh ! j'avais bien pigé dit la lune, j'ai bien mon clair ;)

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je m'en doutais que c'était un coup de lune !

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bon, tu nous le repostes ton long poème à épisodes ou tu continue à bouder dans ton blog ?

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je boude pas pour un sou.
(mais je ne peux plus le poster maintenant c'est passé, m'enfin il est sur le blog)

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à l'occasion, claire, si tu veux me donner l'adresse de ton blog (je crois que tu en as un ?) je le mettrai en lien sur le mien (si tu veux bien.)

(là je file à l'anniversaire d'un copain)

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oui, bien sûr, c'est là : demeures

et les vieux sont là

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ce n'est pas pour "te trancher" c'est parce que ta réflexion m'a ramenée à beaucoup de choses que je pensais à moment donné..et j'ai traduit ce que tu disais dans ces pensées-là. Désolée.

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des fois, j'aimerais que tu développes un peu plus.. question de clarté ( ou de lune ..)

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oh, ce n'est pas compliqué à dire : c'est la question de la différence entre un poème et une lettre adressée. tout ce dont on parle parfois ici..mais c'est compliqué à penser, riche, ambigu.
Disons que j'étais plus rigide à moment donné, autour de cette question de la sublimation : "une oeuvre d'art ne doit pas servir à quelque chose" ou bien : "une oeuvre d'art est adressée à tous". J'ai appris que c'est bien plus mêlé et complexe.

(un orage du feu de Dieu en ce moment sur Toulon !)

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mais oui "c'est bien plus mêlé et complexe", c'est le genre de choses pour lesquels il y a toujours deux pôles (pôles vous aimez ça ahahha les polarités, le oui/non bien binaire et tranché, bon, mais c'est plutôt des positions ou points extrêmes) avec entre les deux des milliards de possibles — quand même je ne peux pas nommer les milliards de possibles héhé alors je dessine ( <= un pôle, et puis l'autre => ) comme une sorte de cadre (vous aimez ça les cadres bien établits au tracé exact lol)... alors que ce qui m'intéresse c'est toute la zone intermédiaire et comment on se place et articule dedans, et comment ça se place puis encore ce qu'on en fait. par contre je remarque que la plupart du temps ça tire la discussion à gauche-gauche ou droite-droite, sans que personne ne parle d'où il se trouve tout en pointant l'autre... pourtant pourtant! que de choses à dire et trouver et ouvrir et, et... mais bon...

alors tu vois, ça me décourage un brin d'ouvrir une question et de fouiller dans le sac du Marquis de Carabas.. n'est-ce pas..

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eh ! tu me vouvoies maintenant ? ;)
c'est toi qui semblais avoir envie de fouiller dans le sac...laissons donc l'ogre lion-souris à ses mystères, c'est bien ainsi, je crois qu'on se comprend.

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ouais bin de toute façon « on s'en fout ! »
et on ne se comprend pas, surtout.

( j'ai effacé la dégoulinade et ma mauvaise humeur )

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tu as bien fait.

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- pas de texte -

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.. je te fais mes excuses pour ma montée de lait.
dorénavant je garderai mes distances..

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tu n'est pas la seule à avoir trouvé ce poème déplaisant.

christophe a dit la même chose. c'est peut-être la dernière phrase qui n'est pas bonne.

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ha bon !? ... intéressant que christophe ait lu ce que j'y ai lu..

oui, peut-être c'te dernière phrase en effet..

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Si on inverse les possessifs dans la dernière phrase je pense que ça pourrait garder la force du désir sans le côté déplaisant et machiste que certains peuvent y trouver. Avec" ta main sur ma peau "c'est plus une demande, une proposition presque timide pour consoler l'aimée qu'une affirmation du style "Viens ,moi le mâle tout puissant je vais te sauver de tes errements"

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oui, bonne idée, merci.

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c'est bien vu, cette inversion

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