Supplique d'amour
Une femme mauve des nuits
violette aussi jours d'après
le fait ardemment désirer l’aimer
les temps après gris
sa silhouette danse encore
libre auburn de ses cheveux
ondulant dans les caches voiles
la flamme d’une bougie rougie
son corps l’allonge il fond
mille braises versant étoile
à l’éclipse ombre
se consume à blanc
en étreintes brûlantes
aux étincelles de baisers scintillés
échangés dans l’élan
coupé un petit matin
de cire translucide
après il s’emmitoufle
dans le cocon solitude
son absence amante
détachée de son corps offert
le coffre cœur ouvert
sur invisible manque
(élastique)
attend il arrive
vers elle quand elle part
ravive-nue les tus
s'attire dans la nuit
l’on sème le jour
sous la lune rousse qui rose
courant les vagues dagues
aux creux de mers ourlées
danses en vies de folie
gestes collés de caresses
aux tendresses de désirs
par attraction des corps aimants
au gré de musiques
magnétiques
ils dansent jusqu’à
- presque faisant l’amour
bout de souffle
petite mort douce
remue à l'esprit
couleur de cœur.
Elle, femme à la bouche
embrassée posant lèvre inférieure
sous sienne supérieure
enveloppée de lèvre sous
baisers de langue subtile
communiquant à l'autre
mille sensations chaudes
indescriptibles
procurent une sensation
comme un souvenir enneigé d’Egée.
La cor est fine
comme une anguille
féline féminine
donnant les seins
s’aiguise la langue
des six sens
l’eau à la bouche
mange les contours
d’une miche douce
caresse à la taille se faille
jusqu’à les jambes et puis
ne sait comment s'arrêtent
en viennent à parler d’autres choses
qui éloignent du feu
en même temps les rapprochent
du peu que nous sommes
qui font beaucoup mais
reste scotché à soi, les yeux et la bouche
brûlant de souffler
de danse.
Attend avant de quitter
des yeux miroirs
une minute papillonne
parmi soi les rayons reine
regarde la belle
ne pique pas
aime bien
à la tête comme une pensée
de fleur passionnelle
butine encore un peu
les sens antennes mise en attente
au temps de murmures échos
des battements passés
en secondes de miel
aux côtés d'elle.
violette aussi jours d'après
le fait ardemment désirer l’aimer
les temps après gris
sa silhouette danse encore
libre auburn de ses cheveux
ondulant dans les caches voiles
la flamme d’une bougie rougie
son corps l’allonge il fond
mille braises versant étoile
à l’éclipse ombre
se consume à blanc
en étreintes brûlantes
aux étincelles de baisers scintillés
échangés dans l’élan
coupé un petit matin
de cire translucide
après il s’emmitoufle
dans le cocon solitude
son absence amante
détachée de son corps offert
le coffre cœur ouvert
sur invisible manque
(élastique)
attend il arrive
vers elle quand elle part
ravive-nue les tus
s'attire dans la nuit
l’on sème le jour
sous la lune rousse qui rose
courant les vagues dagues
aux creux de mers ourlées
danses en vies de folie
gestes collés de caresses
aux tendresses de désirs
par attraction des corps aimants
au gré de musiques
magnétiques
ils dansent jusqu’à
- presque faisant l’amour
bout de souffle
petite mort douce
remue à l'esprit
couleur de cœur.
Elle, femme à la bouche
embrassée posant lèvre inférieure
sous sienne supérieure
enveloppée de lèvre sous
baisers de langue subtile
communiquant à l'autre
mille sensations chaudes
indescriptibles
procurent une sensation
comme un souvenir enneigé d’Egée.
La cor est fine
comme une anguille
féline féminine
donnant les seins
s’aiguise la langue
des six sens
l’eau à la bouche
mange les contours
d’une miche douce
caresse à la taille se faille
jusqu’à les jambes et puis
ne sait comment s'arrêtent
en viennent à parler d’autres choses
qui éloignent du feu
en même temps les rapprochent
du peu que nous sommes
qui font beaucoup mais
reste scotché à soi, les yeux et la bouche
brûlant de souffler
de danse.
Attend avant de quitter
des yeux miroirs
une minute papillonne
parmi soi les rayons reine
regarde la belle
ne pique pas
aime bien
à la tête comme une pensée
de fleur passionnelle
butine encore un peu
les sens antennes mise en attente
au temps de murmures échos
des battements passés
en secondes de miel
aux côtés d'elle.