jojo

par Poème d'anonyme, jeudi 26 mars 2015, 08:02 (il y a 3533 jours)

N'être qu'une passerelle, un pont posé en travers terre et ciel, nuages par taire humaine. En souhait d'écrire en bégaye tel, avec un gène de différence, trisomique. Jojo saisit moins, saisi plus. Laissant passer du temps en dérive, à la traîne en file indienne. Parfois, ça casse à l'horloge du clocher, parfois se blesse l'esprit. Cloches sonnées. A l'usure la mer rend doux les cailloux en galets, à l'alchimie verbe en herbe de manifestantes à l'aluminium assagi. Jojo lui, tient bon.