On ne manque de rien / Laura Vazquez (vidéo)

par zeio @, vendredi 27 mars 2015, 23:12 (il y a 3531 jours) @ Claire

Peut-être. Mais cette mécanique évolue tout de même vers une certaine sténose. À force, on répète des phrases de plus en plus courtes et tranchantes et, vocabulairement parlant, de plus en plus simples. On pourra dire que la forme ultime de cet art poétique est une suite de hoquets, inducteurs de transe performative.

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