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J’ai parlé du désert
J’ai expliqué qu’il est le tranchant de la sensation
Semblable à une pointe, son aridité est lumière
Tandis qu’on n’y respire pas
Le sentiment lui, est une jungle profonde
Où la luxuriance et l’humidité font légion
Où des bêtes douces et spirituelles
S’enlacent aux points d’eau
S’unissent.
J’ai expliqué qu’il est le tranchant de la sensation
Semblable à une pointe, son aridité est lumière
Tandis qu’on n’y respire pas
Le sentiment lui, est une jungle profonde
Où la luxuriance et l’humidité font légion
Où des bêtes douces et spirituelles
S’enlacent aux points d’eau
S’unissent.
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Très beau.
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Opposer sensation et sentiment est bien intéressant.
Je suis à moitié d'accord avec la première strophe : le côté tranchant, lumineux de la sensation, oui - mais je ne partage pas l'impression de soif, au contraire.
J'aime bien la deuxième strophe, bien que j'ai les représentations de jungle moins aimables...tu en as de la chance.
J'aime pas trop le "J'ai parlé du..." au début, assez pompeux je trouve. Comme un prophète qui s'autociterait.
Je suis à moitié d'accord avec la première strophe : le côté tranchant, lumineux de la sensation, oui - mais je ne partage pas l'impression de soif, au contraire.
J'aime bien la deuxième strophe, bien que j'ai les représentations de jungle moins aimables...tu en as de la chance.
J'aime pas trop le "J'ai parlé du..." au début, assez pompeux je trouve. Comme un prophète qui s'autociterait.