grand vent
(un poème écrit hier soir pour Catrine, pour qu'elle revienne)
la lumière est comme de la cendre
à cette heure-ci
d'équlibre.
tombant, sur les arbres, les collines
- immobile -
malgré le grand vent chaud.
je pense aux liens, à ce qui importe
bien plus que les idées, les pensées
le lien dit quelque chose d'aussi impossible à dire
que cette lumière cendrée.
et rien ne doit passer avant lui, aucune crainte, aucune cause
car il n'en a pas.
et excuse-moi d'avoir été si inutilement violente, la colère tournait en rond en moi comme une énigme, une dualité insupportable, il fallait que je casse quelque chose.
la lumière est comme de la cendre
à cette heure-ci
d'équlibre.
tombant, sur les arbres, les collines
- immobile -
malgré le grand vent chaud.
je pense aux liens, à ce qui importe
bien plus que les idées, les pensées
le lien dit quelque chose d'aussi impossible à dire
que cette lumière cendrée.
et rien ne doit passer avant lui, aucune crainte, aucune cause
car il n'en a pas.
et excuse-moi d'avoir été si inutilement violente, la colère tournait en rond en moi comme une énigme, une dualité insupportable, il fallait que je casse quelque chose.