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La sensation s’apparente à un pilier, une majestueuse combinaison d’éléments originels, ancestraux, desquels tout le devenir dépend. C’est pour cela que retrouver ce foyer, le restituer à soi même a ce caractère de l’étrangeté, c’est à dire ce qui se passe de mots. Les mots, inutiles, ne font que graviter autour de ce mystère, ce pilier primitif. La poésie seule, dans sa combinaison, serait en mesure de tailler ce granit, mais encore elle n’en serait qu’un extrait fugitif.
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je ne sais pas qui ni d'où, mais ça me parle, ça me parle même très fort.
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Du Florian, bien entendu.
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non, je ne crois pas.
J'aime aussi.
J'aime aussi.
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Marrant. Moi, je sens tout de suite l'esprit de florian. Faut dire que j'ai l'avantage de le connaître depuis 20 ans.
Par contre si je me suis planté j'aurais l'air mal malin. Mais je ne pense pas...
Par contre si je me suis planté j'aurais l'air mal malin. Mais je ne pense pas...
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C'est quand florian laisse une saison en enfer remonter jusqu'à ses dents
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oui, tu as peut- être raison.
ça ne me semblait pas assez suintant ni accablant, mais en tout cas c'est beau, central.
ça ne me semblait pas assez suintant ni accablant, mais en tout cas c'est beau, central.
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je ne suis ni suintant ni accablant.
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mais les adultes le sont, malgré toutes leurs bonnes volontés et surtout qu'est-ce qu'ils sont chiants...
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bien sûr que tu n'est ni suintant ni accablant, mais ce qui t'entoure dans tes poèmes parfois le semble.
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Et tout dépend de ce qu'on suinte : eau, vase, or liquide ? mousse à raser, chlore, xénon ?
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Il faut tout suinter si l'on veut décrire son environnement, sans quoi ce ne serait que mépris.