I found a poème-vidéo de Gwenolé Denieul
Lanceurs d'alerte
Merci Catrine !
Les bons poètes sont aussi des "lanceurs d'alerte". Quand nous pensions habiter le monde, ils nous font éprouver à quel point nous l'avions quitté. Ils nous signalent notre absence et nous invitent à la combler.
Les bons poètes sont aussi des "lanceurs d'alerte". Quand nous pensions habiter le monde, ils nous font éprouver à quel point nous l'avions quitté. Ils nous signalent notre absence et nous invitent à la combler.
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Merci Catrine. C'est prenant
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j'aime pas.
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ça m'importe peu, au fond dh. aimer ou pas ne change rien au fait que cette voix existe.
(je vous rapportais cette existence, tout simplement, histoire de réveiller un aspect et d'élargir "un paysage"...)
... forcément j'ai pensé au travail de d i v , et pour moi il est clair que Gwen' penche un peu vers, ou plutôt il juxte. et quoi qu'il en soit d i v creuse l'émotion profonde (avec fusions et confusions, trouble, et c'est d'autant plus puissant) comme s'il tirait sur un nerf, un tendon, il donne sa voix comme s'il tenait un organe chaud et vivant. en écoutant Gwen' et d i v en alternance je me suis rendue compte que chez le premier la mort est plus forte (et un peu plus... lisse) quand chez le second l'intrication de l'érotisme dans la mort atteint une dimension quasi extatique.
mais je dis ça, je dis rien, pour paraphraser le Julien (tiens, où est-il julien ?)
(je vous rapportais cette existence, tout simplement, histoire de réveiller un aspect et d'élargir "un paysage"...)
... forcément j'ai pensé au travail de d i v , et pour moi il est clair que Gwen' penche un peu vers, ou plutôt il juxte. et quoi qu'il en soit d i v creuse l'émotion profonde (avec fusions et confusions, trouble, et c'est d'autant plus puissant) comme s'il tirait sur un nerf, un tendon, il donne sa voix comme s'il tenait un organe chaud et vivant. en écoutant Gwen' et d i v en alternance je me suis rendue compte que chez le premier la mort est plus forte (et un peu plus... lisse) quand chez le second l'intrication de l'érotisme dans la mort atteint une dimension quasi extatique.
mais je dis ça, je dis rien, pour paraphraser le Julien (tiens, où est-il julien ?)
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euh... (c'était un message "sans filtre", pardon)