Relève
Pour me faire une idée j'ai grimpé la colline
Excitée par le soir par le cri d'un serin
Ce petit rien qui brille a fait monter ma faim
La ville telle quelle en rêvant dodeline
Caressée par la nuit — influence première
Dérogeant tout entière au Soleil et ses mues
Je me dore sans mal d'engeances détenues
Regardez-moi border leur ombre traversière
Sans pouvoir m’empêcher d’y glaner les fleurs noires
Ouvertes à-demi — la Lune les enclenchent
Leur pistil parfumé a laissé sur mes hanches
Le beau leurre assassin d’attaches dérisoires
Ne cessez pas surtout de les disséminer
L’éclair a tonné clair là-haut dans les nuages
Je m’allonge tranquille au feu de ces mirages
Et garde l’œil ouvert sur la meute inclinée
Excitée par le soir par le cri d'un serin
Ce petit rien qui brille a fait monter ma faim
La ville telle quelle en rêvant dodeline
Caressée par la nuit — influence première
Dérogeant tout entière au Soleil et ses mues
Je me dore sans mal d'engeances détenues
Regardez-moi border leur ombre traversière
Sans pouvoir m’empêcher d’y glaner les fleurs noires
Ouvertes à-demi — la Lune les enclenchent
Leur pistil parfumé a laissé sur mes hanches
Le beau leurre assassin d’attaches dérisoires
Ne cessez pas surtout de les disséminer
L’éclair a tonné clair là-haut dans les nuages
Je m’allonge tranquille au feu de ces mirages
Et garde l’œil ouvert sur la meute inclinée
Corrections
Pour me faire une idée j’ai grimpé la colline
Excitée par le soir par le cri d’un serin
Ce petit rien qui brille a fait monter ma faim
La ville telle quelle en rêvant dodeline
Caressée par la nuit — influence première
Dérogeant tout entière au Soleil et ses mues
Je me dore sans mal d’engeances détenues
Regardez-moi border leur ombre traversière
Sans pouvoir m’empêcher d’y glaner les fleurs noires
Ouvertes à-demi — la Lune les enclenche
Leurs pistils parfumés ont laissé sur ma hanche
Un beau leurre assassin d’attaches dérisoires
Ne cessez pas surtout de les disséminer
L’éclair a tonné clair là-haut dans les nuages
Je m’allonge tranquille au feu de ces mirages
Et garde l’œil ouvert sur la meute inclinée
Excitée par le soir par le cri d’un serin
Ce petit rien qui brille a fait monter ma faim
La ville telle quelle en rêvant dodeline
Caressée par la nuit — influence première
Dérogeant tout entière au Soleil et ses mues
Je me dore sans mal d’engeances détenues
Regardez-moi border leur ombre traversière
Sans pouvoir m’empêcher d’y glaner les fleurs noires
Ouvertes à-demi — la Lune les enclenche
Leurs pistils parfumés ont laissé sur ma hanche
Un beau leurre assassin d’attaches dérisoires
Ne cessez pas surtout de les disséminer
L’éclair a tonné clair là-haut dans les nuages
Je m’allonge tranquille au feu de ces mirages
Et garde l’œil ouvert sur la meute inclinée
Corrections
c'est assez beau
parfois on aimerait un peu plus d'explicite
nommer directement les choses
c'est une balade sur la colline qu'on aime suivre (le thème est incitateur)
moi je simplifierais encore, mais moi ce n'est pas toi...
parfois on aimerait un peu plus d'explicite
nommer directement les choses
c'est une balade sur la colline qu'on aime suivre (le thème est incitateur)
moi je simplifierais encore, mais moi ce n'est pas toi...
Corrections
j'aime beaucoup le flouté pas tout à fait, la nuit qui n'en est pas une ...et une impression.. celle d'un sourire sur crocs luisants, celle d'un loup-debout, il y a aussi quelque chose d'une victoire ou d'un sommet, une part conquise ou regagnée, et ce moment de chute du poème, où j'ai ressenti la force rassemblée juste avant l'essort... et je ne sais pas trop pourquoi mais j'ai senti qu'il fallait que je te le dise.. l'essort...
Corrections
Merci à vous