Gwen hag du
C'est quand j'oublie ma culture que je me perds.
Quand on me rend trop Français Parisien qu'on m'abêtit.
Quand j'ai appris tellement de codes que je n'en ai plus de langue.
Que j'en deviens morne. Je ne sais plus nommer, je norme. J'oublie les noms, d'où je suis, qui je suis et comment devenir.
Sur le point de me résigner, de m'affaisser, de m'habituer à l'écoute des organes d'abrutissement, radios, journaux, jt.... Bourrés d'images fadaises, propres à briser les caractères.
Quelque part d'autre me rappelle. Me rebelle. Sons, notes, phrasés à idées dites barbares, reviennent me secouer, piétiner le tas de rangs d'oignons où on consigne avec, salades et betteraves. Gwen ha' du, penn ar bad. Penn carn.
Quand on me rend trop Français Parisien qu'on m'abêtit.
Quand j'ai appris tellement de codes que je n'en ai plus de langue.
Que j'en deviens morne. Je ne sais plus nommer, je norme. J'oublie les noms, d'où je suis, qui je suis et comment devenir.
Sur le point de me résigner, de m'affaisser, de m'habituer à l'écoute des organes d'abrutissement, radios, journaux, jt.... Bourrés d'images fadaises, propres à briser les caractères.
Quelque part d'autre me rappelle. Me rebelle. Sons, notes, phrasés à idées dites barbares, reviennent me secouer, piétiner le tas de rangs d'oignons où on consigne avec, salades et betteraves. Gwen ha' du, penn ar bad. Penn carn.
Gwen hag du
Pardon mais bed, non pas bad, pardon.
Comprenne qui veut comprendre et entende qui veut entendre. Soit dit en passant.
Comprenne qui veut comprendre et entende qui veut entendre. Soit dit en passant.
Gwen hag du
voila ce que donne le traducteur
Gwen hag du
Gwen et noir
pas sur que les parisiens comprennent,
mais le message comme quoi nous sommes tous égaux me parle, moi le Marseillais, ma ville multiraciale
Gwen hag du
Gwen et noir
pas sur que les parisiens comprennent,
mais le message comme quoi nous sommes tous égaux me parle, moi le Marseillais, ma ville multiraciale
Gwen hag du
Egaux, face au parisianisme.
C'était mon "propos d'humeur".
Gwenn hag du alors.
Et, moi aussi Marseillais.
C'était mon "propos d'humeur".
Gwenn hag du alors.
Et, moi aussi Marseillais.
Gwenn ha' du
C'est quand j'oublie ma culture que je me perds.
Quand on me rend trop Français Parisien on me réduit.
Quand j'ai appris trop certains codes je n'en ai plus de langue originale.
J'en deviens morne. Je ne sais plus nommer, je norme. Oubliant les noms, d'où je suis, qui je suis et comment devenir.
Sur le point de me résigner, m'affaisser, m'habituer à l'écoute des organes d'abrutissement, radios, journaux, jt.... Bourrés de ces images clichés, inauthentiques, propres à lisser les caractères.
Quelque part, quelqu'un d'autre me rappelle. Rebelle. Sons, notes, phrasés à idées dites barbares, étrangères, reviennent secouer, piétiner le tas de rangs d'oignons où on consigne avec, salades et betteraves. Semer des grains, en s'échappant des enclos.
Gwenn ha' du, penn ar bed. Penn carn.
Quand on me rend trop Français Parisien on me réduit.
Quand j'ai appris trop certains codes je n'en ai plus de langue originale.
J'en deviens morne. Je ne sais plus nommer, je norme. Oubliant les noms, d'où je suis, qui je suis et comment devenir.
Sur le point de me résigner, m'affaisser, m'habituer à l'écoute des organes d'abrutissement, radios, journaux, jt.... Bourrés de ces images clichés, inauthentiques, propres à lisser les caractères.
Quelque part, quelqu'un d'autre me rappelle. Rebelle. Sons, notes, phrasés à idées dites barbares, étrangères, reviennent secouer, piétiner le tas de rangs d'oignons où on consigne avec, salades et betteraves. Semer des grains, en s'échappant des enclos.
Gwenn ha' du, penn ar bed. Penn carn.