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par au phil de la vie, dimanche 01 avril 2018, 09:46 (il y a 2218 jours)

pourquoi pour qui
se lancer, à vivre écrire
dans l'espace
ardu est, peut-être
aller en forme phase
au fil des jours de la vie
en résonance pas en raisonnance
les sons et les sens, l'essence enfin
le temps passe avec, le sable à la mer
fin sédimente, en mouvement
entends ce qui est absent, à la ligne
descends remonte, tâtonne sonde
tiens dans la main, fibre poisson
jette toi à l'eau

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par Périscope @, dimanche 01 avril 2018, 12:03 (il y a 2218 jours) @ au phil de la vie

d'accord je vois et je te suis sur les glissements, connotations, allusions

le jeu de la langue

le poésie le permet

mais quand la poésie voudrait se faire narration, histoire, fin récit,
comment conjuguer poésie et récit ??

en somme satisfaire la cohérence du sens mais sans l'étouffer, la fermer...

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par au phil de la vie, dimanche 01 avril 2018, 15:06 (il y a 2218 jours) @ Périscope

Demande à François plutôt, par exemple, il en connait un rayon, pour ma part je n'ai écrit que quelques historiettes en passant...

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par au phil de la vie, dimanche 01 avril 2018, 15:28 (il y a 2218 jours) @ au phil de la vie

Sylvie Germain à écrit des livres poétiques, je pense par exemple à la pleurante des rues de Prague

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par Périscope @, dimanche 01 avril 2018, 17:21 (il y a 2218 jours) @ au phil de la vie

d'accord merci je vais la lire d'un peu plus près

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par sobac @, lundi 02 avril 2018, 10:13 (il y a 2217 jours) @ au phil de la vie

je sais dit l'ombre
je vois l'inutile
j'entends les propos
qu'en dis tu Hombre

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par au phil de la vie, mardi 03 avril 2018, 18:14 (il y a 2216 jours) @ sobac

lumière à l'ombre

tu est devant, derrière, à côté de nous
autour de nous
tu es la même, plus ou moins grande, plus ou moins foncée
plus ou moins visible
selon la luminosité ta vision s'affirme, à contre-jour
tu rappelles en sourdine
tu éclaires par contrastes
voici comment nous t'apprécions
tu nous dessines en arrière plan
tout le temps
nous t'ignorons
- sauf quand nous t'observons
tu es témoin de tout
tu témoignes qu'il reste de la lumière
quand le jour se lève
et la nuit comme une restitution d'ombre rejoint nos rêves
à l'éclipse de la lune, tu te montres comme jamais
sinon tu la voiles pour nous offrir toute la palette
de la grande balle, apparente, aux croissants fins
enfin, tu n'es pas rien, tu existes et nous complètes
depuis la nuit temps des cavernes, depuis toujours
tu es effet naturel, non pas cause
s'il en vient d'aucune trop envahissante
gâchant la vue même des visages
je répondrai, à l'instar de diogène : "ôte-toi de mon soleil !"
au porteur d'ombres abusives

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par sobac @, mardi 03 avril 2018, 18:46 (il y a 2215 jours) @ au phil de la vie

jeu d'ombre, dans un soleil couchant

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par au phil de la vie, jeudi 05 avril 2018, 11:32 (il y a 2214 jours) @ au phil de la vie

C'est la grève des commentaires ? Pas plus pour ce poème ?