crépuscule
Crépuscule, des bruits épars, le son d'une voix puis suivie de beaucoup d'autres
on s'interpelle. L'atmosphère à cette mollesse de l'aurore quand la journée de labeur recommence. Aujourd'hui devient le centre, l'enjeu principal,on compare cela à une arène, ou un ring, c'est selon l'humeur,mais ça ne change pas grand-chose; à part peut-être l'envie, et encore. Le temps se contente de faire défiler ses heures,il ne se pose pas de questions, il est immatériel, se fout de l'objectif.
Fourmilière, essaim, nid, gîte , ruche humaine, l'espace se consume,pourtant la mort rôde çà et là, cherchant sa quête, avec une sébile en peau véritable.
on s'interpelle. L'atmosphère à cette mollesse de l'aurore quand la journée de labeur recommence. Aujourd'hui devient le centre, l'enjeu principal,on compare cela à une arène, ou un ring, c'est selon l'humeur,mais ça ne change pas grand-chose; à part peut-être l'envie, et encore. Le temps se contente de faire défiler ses heures,il ne se pose pas de questions, il est immatériel, se fout de l'objectif.
Fourmilière, essaim, nid, gîte , ruche humaine, l'espace se consume,pourtant la mort rôde çà et là, cherchant sa quête, avec une sébile en peau véritable.
crépuscule
c'est très sombre, exténué, et le côté négligé du style, fautes d'orthographe, virgules aléatoires, pensée suivant sa propre pente, va bien avec le fond.
Est-ce pour ça que tu ne "veux pas te prendre le chou" quand tu écris ? pour être comme le temps qui " se contente de faire défiler ses heures,il ne se pose pas de questions, il est immatériel, se fout de l'objectif."
Est-ce pour ça que tu ne "veux pas te prendre le chou" quand tu écris ? pour être comme le temps qui " se contente de faire défiler ses heures,il ne se pose pas de questions, il est immatériel, se fout de l'objectif."
crépuscule
en quoi le style est négligé
fautes d'orthographe
virgules pas a bon escient
je te trouves un peu dure, ce texte est la representation d'une photo
de la vie de la mort de tout ce qui fait que l'on s'interroge sur ce que l'on peut vivre, de la vacuité de l'existence , des peurs et angoisses ect
fautes d'orthographe
virgules pas a bon escient
je te trouves un peu dure, ce texte est la representation d'une photo
de la vie de la mort de tout ce qui fait que l'on s'interroge sur ce que l'on peut vivre, de la vacuité de l'existence , des peurs et angoisses ect
crépuscule
Crépuscule, des bruits épars, le son d'une voix puis suivie de beaucoup d'autres
on s'interpelle. L'atmosphère à cette mollesse de l'aurore quand la journée de labeur recommence. Aujourd'hui devient le centre, l'enjeu principal,on compare cela à une arène, ou un ring, c'est selon l'humeur,mais ça ne change pas grand-chose; à part peut-être l'envie, et encore. Le temps se contente de faire défiler ses heures,il ne se pose pas de questions, il est immatériel, se fout de l'objectif.
Fourmilière, essaim, nid, gîte , ruche humaine, l'espace se consume,pourtant la mort rôde çà et là, cherchant sa quête, avec une sébile en peau véritable.
Je suis dure parce que j'y ai trouvé un intérêt, mais que l'impression d'un premier jet, où on dévide tout ce qui vous passe par la tête, et même pas relu, m'a fait me demander pourquoi tu ne retravailles pas, ou au moins pourquoi tu ne te relis pas, comme un pâtissier qui vous livrerait un gâteau dégoulinant, et un peu écrasé, bref, négligé et pas très appétissant malgré des ingrédients tentants....
Pourquoi tous ces lieux communs mélangés à ce qui est une vision personnelle intéressante ? Les textes "jets" ne sont valables que s'ils sont très surprenants, bizarres, déstructurés, et ce n'est pas le cas de celui-ci.
Et puis je me suis dit, la réponse est dans le texte : à quoi bon ? rien ne sert à rien, tout est épuisement et contrainte, donc ça va bien comme ça...j'ai rien compris ?
on s'interpelle. L'atmosphère à cette mollesse de l'aurore quand la journée de labeur recommence. Aujourd'hui devient le centre, l'enjeu principal,on compare cela à une arène, ou un ring, c'est selon l'humeur,mais ça ne change pas grand-chose; à part peut-être l'envie, et encore. Le temps se contente de faire défiler ses heures,il ne se pose pas de questions, il est immatériel, se fout de l'objectif.
Fourmilière, essaim, nid, gîte , ruche humaine, l'espace se consume,pourtant la mort rôde çà et là, cherchant sa quête, avec une sébile en peau véritable.
Je suis dure parce que j'y ai trouvé un intérêt, mais que l'impression d'un premier jet, où on dévide tout ce qui vous passe par la tête, et même pas relu, m'a fait me demander pourquoi tu ne retravailles pas, ou au moins pourquoi tu ne te relis pas, comme un pâtissier qui vous livrerait un gâteau dégoulinant, et un peu écrasé, bref, négligé et pas très appétissant malgré des ingrédients tentants....
Pourquoi tous ces lieux communs mélangés à ce qui est une vision personnelle intéressante ? Les textes "jets" ne sont valables que s'ils sont très surprenants, bizarres, déstructurés, et ce n'est pas le cas de celui-ci.
Et puis je me suis dit, la réponse est dans le texte : à quoi bon ? rien ne sert à rien, tout est épuisement et contrainte, donc ça va bien comme ça...j'ai rien compris ?
crépuscule
mais si tu préfères je continue à laisser passer tous tes textes sans commentaire.
crépuscule
"puis " s'écrit bien comme cela , j'aurai pu ne pas le mettre c'est vrai , un ou deux accents pas mis é véro
ensuite pas "relu " comment tu peux le penser , cite moi un indice ( pas l'accent en moins bien sur)
enfin je ne n'ai pas cherché a surprendre, ni a faire un effet quelconque
c'est une impression un ressenti
maintenant je n'ai jamais dis que j'étais contre tes commentaires, bien au contraire
mais je sais que tu peux être moins tatillonne( accent ponctuation ), plus dans le ressenti, voila pourquoi je t'ai dis que je te trouvait un poil dure
je concède que c'est un texte pas gai
merci de ta lecture et de ton COMMENTAIRE
ensuite pas "relu " comment tu peux le penser , cite moi un indice ( pas l'accent en moins bien sur)
enfin je ne n'ai pas cherché a surprendre, ni a faire un effet quelconque
c'est une impression un ressenti
maintenant je n'ai jamais dis que j'étais contre tes commentaires, bien au contraire
mais je sais que tu peux être moins tatillonne( accent ponctuation ), plus dans le ressenti, voila pourquoi je t'ai dis que je te trouvait un poil dure
je concède que c'est un texte pas gai
merci de ta lecture et de ton COMMENTAIRE
crépuscule
l'indice c'est la disposition des virgules, avec au choix : un espace avant, un espace avant et après, pas d'espace du tout, un peu au hasard.
C'est vrai que j'aurais dû dire pourquoi le texte m'a intéressée :
D'abord cette idée de relier le crépuscule et l'aurore, que je n'avais jamais lue ailleurs comme si l'idée que nous nous faisons du début et de la fin de la journée étaient si différentes que les points communs (lumière, sons) ne nous avaient jamais frappés. J'ai aimé aussi l'idée cafardeuse que, pleins de mollesse et d'indistinction, ils encadrent une journée de travail dure comme du fer, comme un combat, et la façon que tu as eue de l'appeler "aujourd'hui".
Ensuite la personnification du temps, tout aussi cafardeux, qui se dit "à quoi bon ? " et ressemble à un travailleur à la chaîne, "se fout de l'objectif".
Enfin les images du groupe humain, indifférencié et étouffant, où erre la mort (mendiante) comme une une créature maléfique. l'image de la "sébile de peau véritable" est digne d'un film d'horreur ou d'une évocation de la Shoah, et ça colle bien avec l'indifférenciation du groupe sacrifié.
voili voilou.
quand je lis quelque chose comme ça, j'ai envie qu'il ne soit pas gâché par la flemme de l'auteur, alors je râle. Parce que oui, quel est l'objectif ? Il n'y en a pas...simplement quand on fait un truc le faire bien, pour qu'il puisse participer à l'effort de pensée de l'espèce humaine, qui je crois s'oppose à la sébile "en peau véritable". Me voilà un peu emphatique, désolée.
C'est pour ça aussi que j'insiste quelquefois sur l'idée d'être édité. Ce n'est pas de la prétention, c'est aller au bout des choses, en tout cas essayer.
C'est vrai que j'aurais dû dire pourquoi le texte m'a intéressée :
D'abord cette idée de relier le crépuscule et l'aurore, que je n'avais jamais lue ailleurs comme si l'idée que nous nous faisons du début et de la fin de la journée étaient si différentes que les points communs (lumière, sons) ne nous avaient jamais frappés. J'ai aimé aussi l'idée cafardeuse que, pleins de mollesse et d'indistinction, ils encadrent une journée de travail dure comme du fer, comme un combat, et la façon que tu as eue de l'appeler "aujourd'hui".
Ensuite la personnification du temps, tout aussi cafardeux, qui se dit "à quoi bon ? " et ressemble à un travailleur à la chaîne, "se fout de l'objectif".
Enfin les images du groupe humain, indifférencié et étouffant, où erre la mort (mendiante) comme une une créature maléfique. l'image de la "sébile de peau véritable" est digne d'un film d'horreur ou d'une évocation de la Shoah, et ça colle bien avec l'indifférenciation du groupe sacrifié.
voili voilou.
quand je lis quelque chose comme ça, j'ai envie qu'il ne soit pas gâché par la flemme de l'auteur, alors je râle. Parce que oui, quel est l'objectif ? Il n'y en a pas...simplement quand on fait un truc le faire bien, pour qu'il puisse participer à l'effort de pensée de l'espèce humaine, qui je crois s'oppose à la sébile "en peau véritable". Me voilà un peu emphatique, désolée.
C'est pour ça aussi que j'insiste quelquefois sur l'idée d'être édité. Ce n'est pas de la prétention, c'est aller au bout des choses, en tout cas essayer.
crépuscule
me v'là tout ragaillardi
je te sais exigeante, et moi un peu nonchalant
j'essaye pourtant de me corriger, mais pas facile avec l'âge
ensuite comme je te l'ai déjà dit j'écris d'un jet parfois çà colle parfois non
merci encore
je te sais exigeante, et moi un peu nonchalant
j'essaye pourtant de me corriger, mais pas facile avec l'âge
ensuite comme je te l'ai déjà dit j'écris d'un jet parfois çà colle parfois non
merci encore
crépuscule
j'aime bien ce texte. il y a à la fois une très grande fatigue et une très grande obstination, comme chez beckett.
les coquilles sont bien sûr sans importance, ça se corrige en 5 secondes.
les coquilles sont bien sûr sans importance, ça se corrige en 5 secondes.
crépuscule
oui c'est la vie en condensé , a la fois vivace et exténuante, nous sommes toujours sur le fil, équilibriste de l'éphémère, avec en horizon la mort qui nous fais des clins d'œil, comme si vivre était une récompense accordée mais vite reprise
merci
merci
crépuscule
chez Beckett il y a un tamis qui ne laisse passer que ce qui compte
crépuscule
tu devrais développer c'est intéressant
crépuscule
vocabulaire pauvre, expressions bancales incorrectes (classiquement)
phrases souvent courtes dans son théâtre
mots forts parfois et sans adjectifs décoratifs
ce sont des faux clowns métaphysiques entre enfants clochards... (les personnages de Beckett)
toujours bien sur rapport avec la condition de l'homme, vie mort amour ennui, dieu
mais ça tu le fais souvent
voilà ce qui me reste du vieux Beckett bien que toujours jeune inclassable
phrases souvent courtes dans son théâtre
mots forts parfois et sans adjectifs décoratifs
ce sont des faux clowns métaphysiques entre enfants clochards... (les personnages de Beckett)
toujours bien sur rapport avec la condition de l'homme, vie mort amour ennui, dieu
mais ça tu le fais souvent
voilà ce qui me reste du vieux Beckett bien que toujours jeune inclassable
crépuscule
expressions bancales , vocabulaire pauvre font partie de la parole quotidienne , la langue français ou pas, ne se parle pas précieusement ( comme au temps des précieuses ridicules)elle se parle se raconte avec des mots de tous les jours, il ne faudrait pas faire une surenchère élitiste juste pour se différencier de la populace, car souvent a vouloir en rajouter , on s'éloigne du ressenti, de l'instantané qui en font la force
mais c'est mon humble avis, n'étant que scribouillard occasionnel
merci d'avoir répondu et commenter
mais c'est mon humble avis, n'étant que scribouillard occasionnel
merci d'avoir répondu et commenter
crépuscule
Ta mort, là, elle arrive complètement artificiellement. Il eût fallu que le pouem l'amène. Et puis entre nous, "mort", c'est de ces mots dont aucun texte ne se relève.
À prendre en graine : le dormeur du val.
À prendre en graine : le dormeur du val.
crépuscule
la critique est aisée mais le commentaire est un art
a bon entendeur
a bon entendeur