femme
Chère Femme si parfaitement imparfaite approche ton lobe velouté celui que tu portes du côté du coeur, retiens l'arôme parfumé de ta respiration et écoute-moi attentivement de la profondeur de tes prunelles concentrées : parfois tu vas être tout simplement trop, admirablement et divinement trop : trop mystérieuse, trop intelligente, trop belle, trop forte, toujours beaucoup trop et cela se fera sentir un petit d'homme mâle mal dans sa peau bien moins homme et moins grandi que toi. Tu vas commencer à ressentir le besoin d'être moins femme et c'est alors que tu auras tort et que tu te feras grand tort. La plus grande erreur que tu puisses faire serait d'avoir l'inconvenante indécence d'enlever les joyaux de ta couronne, symbole de sensualité et d'originalité à forte personnalité exacerbée, ces mille et un trésors de profondeur et de saveur qui affleurent à ton grain de peau, pour les déposer aux pieds-d'Estale de ce demi-dieu afin qu'il puisse de ses trop frêles épaules la supporter plus aisément. Quand cela se produira, promets-moi de ton âme insoumise, de tes passions qui te font reine, des multiples facettes de ton coeur qui te font déesse rebelle et fièrement dressée face à cette injustice, que ce qu'il te faut ce n'est pas une plus petite couronne, un joyau rapetissé destiné à glorifier la petitesse d'un compagnon à la carrure rétrécie mais bien un homme aussi fort que toi, l'oiseau rare qui te fera te lever, t'élever et t'envoler, cet être plus précieux que les diamants de ta parure réunis et dans ta quête éternelle tu te dois de devoir rechercher longtemps celui qui sera digne de toi
femme
Oui, mets-toi en quête d’un prince charmant, parce que tu le vaux bien.
femme
Il est grand temps que l'homme se libère.
femme
Enfin un homme qui ne demande pas à une femme de cacher ce qu'elle est et de rester ce qu'elle est
femme
Va faire la vaisselle.
femme
les femmes sont des hommes comme les autres
femme
Que dire tout a été dit
la mode du féminisme n'en finit pas de durer
féminisme dur ou mou
féminisme qui s'empare des nouveaux arguments du moment
quant aux mecs aussi cons, ils se travestissent,
le féminisme ne serait-t-il la machisme des femmes ?
attention ça va y aller de sa polémique...
la mode du féminisme n'en finit pas de durer
féminisme dur ou mou
féminisme qui s'empare des nouveaux arguments du moment
quant aux mecs aussi cons, ils se travestissent,
le féminisme ne serait-t-il la machisme des femmes ?
attention ça va y aller de sa polémique...
femme
Ah, tu crois que fjm est un homme ?
femme
bravo
comme tjrs
fine déduction...
comme tjrs
fine déduction...
femme
Tu as raison, en fait j'ai lu comme si un homme donnait des conseils à une femme lui disant de rester elle-même. Ton commentaire m'a fait relire ce texte, et c'est vrai qu'une femme peut se donner ce conseil et elle a raison. Oui il est important de ne jamais perdre sa personnalité.
Quant au gentleman il faudra apprendre le partage du quotidien :-)
Quant au gentleman il faudra apprendre le partage du quotidien :-)
femme
J’ai rarement lu un texte qui exprime mieux l’état d’esprit d’une femme prête à tomber sous la coupe d’un tordu.
femme
Ta gueule et va faire la vaisselle (2).
femme
Tu n’as pas réussi à trouver deux réparties différentes ?
femme
Le féminisme est porteur de progrès, et efficace, chaque fois qu’il se situe hors de la confrontation phallique, c’est logique mais ça ne va pas trop dans ce sens-là en ce moment, malheureusement.
J’ai le sentiment que le monde actuel est de plus en plus phallique, donc de plus en plus hystérique (c’est la même chose).
Bien sûr, le pouvoir véritable se joue ailleurs que dans ce jeu de dupes des deux (ou trois ou mille) sexes.
J’ai le sentiment que le monde actuel est de plus en plus phallique, donc de plus en plus hystérique (c’est la même chose).
Bien sûr, le pouvoir véritable se joue ailleurs que dans ce jeu de dupes des deux (ou trois ou mille) sexes.
femme
un jeu de dupe voir sous les jupes , des filles
femme
"le monde actuel est de plus en plus phallique"
C'est une caractéristique première du système capitaliste.
Une seconde à l'oeuvre du néolibéralisme est la destruction de la famille et l'orchestration de la confusion des genres.
La visée semble-t-il serait d'en finir avec l'être humain.
C'est une caractéristique première du système capitaliste.
Une seconde à l'oeuvre du néolibéralisme est la destruction de la famille et l'orchestration de la confusion des genres.
La visée semble-t-il serait d'en finir avec l'être humain.
femme
Si les femmes sont des hommes, sont-elles toutes hermaphrodites ou transsexuelles ? L'avenir de L'HOMME est-il un idéal transsexuel, c'est-a-dire que le taré qui ne sait pas qu'il est un homme, se fait mettre des seins et une teucha ou inversement la tarée qui se prend pour un homme et se travestie au quotidien sont-ils ton idéal politique ?
femme
Très belle chanson, qui en dit plus que bien des livres sur l’amour et la guerre, la différence des sexes.
femme
t'as pas saisi le propos
femme homme égalité voila la definition de " les femmes sont des hommes comme les autres où inversement "les hommes sont des femmes comme les autres"
femme homme égalité voila la definition de " les femmes sont des hommes comme les autres où inversement "les hommes sont des femmes comme les autres"
femme
Phallique : hystérique, ça c'est vrai
je veux "pouvoir" t'aimer
Il est étrange que l'endroit où l'homme rentre dans la femme
soit le même que celui d'où sortent les enfants !
Comme si le plaisir de l'homme était de "concevoir" l'enfant
en même temps qu'il le repousse, et l'enfonce
je veux "pouvoir" t'aimer
Il est étrange que l'endroit où l'homme rentre dans la femme
soit le même que celui d'où sortent les enfants !
Comme si le plaisir de l'homme était de "concevoir" l'enfant
en même temps qu'il le repousse, et l'enfonce
femme
Toi en plus d’etre un auteur raté, tu es un caniche. C’est bien la définition d’un transsexualisme généralisé ou d’une variante peu lointaine.
femme
et toi t’as pas dû inventer l’eau tiède.
Le message de sobac fait allusion à cette particularité de la langue française : c’est le même mot qui désigne l'être humain en général et l'être humain masculin.
C’est toi qui as l'esprit encombré de la confusion des genres, j’imagine. Il est vrai que c’est troublant.
Le message de sobac fait allusion à cette particularité de la langue française : c’est le même mot qui désigne l'être humain en général et l'être humain masculin.
C’est toi qui as l'esprit encombré de la confusion des genres, j’imagine. Il est vrai que c’est troublant.
femme
Du large, catin.
femme
merci a toi de recadrer et renseigner
auteur raté çà me va
auteur raté çà me va
femme
Tout est vrai. Au plaisir.
femme
le vrai un truc qui rassure l'entêté, croyant détenir la vérité, alors qu'elle est multiple, comme la dureté du silex
femme
en fait, si hystérique et phallique sont de même nature, c'est parce qu'il s'agit de donner au phallus (un sexe masculin en permanente érection) une valeur magique, essentielle, absolue, d'en faire le sceptre du pouvoir et de la domination, et en négatif le symbole de " tout ce qui manque ".
Si on y croit, pour exister, on ne peut que le rechercher sans cesse, collectionner les attributs qui lui ressemblent, devoir se conduire comme si on le possédait (et ressentir secrètement l'humiliation, la blessure, la terreur de ne pas l'avoir). C'est valable pour les hommes comme pour les femmes (être le plus fort, le plus beau, la plus forte, la plus belle). Ce doute sur sa propre valeur, on va le mettre constamment en jeu dans des conflits, des confrontations, et il nous rend durs et méprisants, voire destructeurs pour ceux qui - visiblement - ne possèdent pas ces attributs, qui sont plus faibles que nous.
Et il nous rend infantiles et serviles face à ceux qui semblent les posséder.
On est tous un peu comme ça, mais plus ou moins, et on peut essayer de s'en distancier.
Je pense que au phil a raison quand il dit que l'argent est le fétiche ultime, mais la Vérité avec un grand V est pas mal non plus.
Je pense aussi que le pire du patriarcat est basé là-dessus, en particulier les conquêtes, les persécutions et les guerres...et bien sûr la domination des femmes...et bien sûr par extension de tous ceux qui ne nous ressemblent pas.
C'est bien intéressant ce que tu dis de l'entrée des enfants et de leur sortie. Tel que tu le dis, on sent l'ambivalence masculine face à cet autre qui va bientôt venir prendre une part de leur femme, comme une rivalité (naturelle).
Il y a pas mal de métaphores agricoles autour de la fécondation, et aussi des représentations opposées selon les cultures autour des rapports sexuels pendant la grossesse. Entre l'idée que le sperme du père nourrit l'enfant in-utéro et la crainte que la dureté de son pénis ne blesse l'enfant...
J'interrogeais un ami sur cette expression : "elle porte mon enfant", qui doit donner le sentiment qu'on est partiellement hébergé à l'intérieur de ce ventre féminin "autre" ?
Je sais en tous cas que je trouvais très agréable de penser que l'enfant que je portais n'était pas fait que de moi.
Si on y croit, pour exister, on ne peut que le rechercher sans cesse, collectionner les attributs qui lui ressemblent, devoir se conduire comme si on le possédait (et ressentir secrètement l'humiliation, la blessure, la terreur de ne pas l'avoir). C'est valable pour les hommes comme pour les femmes (être le plus fort, le plus beau, la plus forte, la plus belle). Ce doute sur sa propre valeur, on va le mettre constamment en jeu dans des conflits, des confrontations, et il nous rend durs et méprisants, voire destructeurs pour ceux qui - visiblement - ne possèdent pas ces attributs, qui sont plus faibles que nous.
Et il nous rend infantiles et serviles face à ceux qui semblent les posséder.
On est tous un peu comme ça, mais plus ou moins, et on peut essayer de s'en distancier.
Je pense que au phil a raison quand il dit que l'argent est le fétiche ultime, mais la Vérité avec un grand V est pas mal non plus.
Je pense aussi que le pire du patriarcat est basé là-dessus, en particulier les conquêtes, les persécutions et les guerres...et bien sûr la domination des femmes...et bien sûr par extension de tous ceux qui ne nous ressemblent pas.
C'est bien intéressant ce que tu dis de l'entrée des enfants et de leur sortie. Tel que tu le dis, on sent l'ambivalence masculine face à cet autre qui va bientôt venir prendre une part de leur femme, comme une rivalité (naturelle).
Il y a pas mal de métaphores agricoles autour de la fécondation, et aussi des représentations opposées selon les cultures autour des rapports sexuels pendant la grossesse. Entre l'idée que le sperme du père nourrit l'enfant in-utéro et la crainte que la dureté de son pénis ne blesse l'enfant...
J'interrogeais un ami sur cette expression : "elle porte mon enfant", qui doit donner le sentiment qu'on est partiellement hébergé à l'intérieur de ce ventre féminin "autre" ?
Je sais en tous cas que je trouvais très agréable de penser que l'enfant que je portais n'était pas fait que de moi.