écrire la suite
écrire la suite
fut le début idoine
histoire avec guillemets
ou les rêves s'entrechoquent
souvenirs mort-nés
de mots éparpillés
dans les ornières du temps
chant du cygne as tu un nom
corps arque bouté
ne ploie qu'au chant du coq
sous un déluge dantesque
de maux en cascade d'effets
mort un jour quelconque
l'aube ce matin-là
n'avait d'yeux que pour l'histoire
et la suite sans conséquence
fut le début idoine
histoire avec guillemets
ou les rêves s'entrechoquent
souvenirs mort-nés
de mots éparpillés
dans les ornières du temps
chant du cygne as tu un nom
corps arque bouté
ne ploie qu'au chant du coq
sous un déluge dantesque
de maux en cascade d'effets
mort un jour quelconque
l'aube ce matin-là
n'avait d'yeux que pour l'histoire
et la suite sans conséquence
Ecrirais-je
Ecrirais-je encore le vent
Dans des coffres en bambou
Des pans de ciel sous les paupières
Le griffonnage des pensées
Aussi longues que des cheveux d’Indien
L’écho des sirènes
Prisonnières de l’eau
Où plongent les oiseaux blessés
Heures abandonnées
Les arbres sont ma demeure
Je n’entends qu’un bruit métallique
De portes qui se ferment
Et les oiseaux dans un monde sans clefs
Tout brûle alentour
Chenilles et guépards
Marionnettes et poupées de chiffon
Etrange monde le cerveau dans sa prison
Intarissable mémoire
Ecrirais-je le souffle
Flamme en sommeil sur mes épaules
Quand la voix persiste
Dans des coffres en bambou
Des pans de ciel sous les paupières
Le griffonnage des pensées
Aussi longues que des cheveux d’Indien
L’écho des sirènes
Prisonnières de l’eau
Où plongent les oiseaux blessés
Heures abandonnées
Les arbres sont ma demeure
Je n’entends qu’un bruit métallique
De portes qui se ferment
Et les oiseaux dans un monde sans clefs
Tout brûle alentour
Chenilles et guépards
Marionnettes et poupées de chiffon
Etrange monde le cerveau dans sa prison
Intarissable mémoire
Ecrirais-je le souffle
Flamme en sommeil sur mes épaules
Quand la voix persiste
Ecrirais-je
Heures abandonnées
de belles métaphores qui donnent à pensé, qu'écrire t'apaise
Les arbres sont ma demeure
Je n’entends qu’un bruit métallique
De portes qui se ferment
Et les oiseaux dans un monde sans clefs
de belles métaphores qui donnent à pensé, qu'écrire t'apaise