un peu
un peu tout
de toux point
tout peut servir
poing fermé, prêt
prêt a tout
de tout encore
encore un peu
peu à peu
tout peut arriver
à tout prix
prix pour tout
servir un peu
un peu loin
loin de tout
même du Loing
si loin encore
encore un peu
pour pouvoir dire
dire je peux
être loin, mais
poing levé encore
taper du poing
un peu plus
plus qu'un peu
Un peu seul
seul et loin
tout au bout
bout d'une vie
vie de peu
où de tout
pieds poings liés
faire le point
à la ligne
ligne de vie
vie et mort
point. c'est tout
de toux point
tout peut servir
poing fermé, prêt
prêt a tout
de tout encore
encore un peu
peu à peu
tout peut arriver
à tout prix
prix pour tout
servir un peu
un peu loin
loin de tout
même du Loing
si loin encore
encore un peu
pour pouvoir dire
dire je peux
être loin, mais
poing levé encore
taper du poing
un peu plus
plus qu'un peu
Un peu seul
seul et loin
tout au bout
bout d'une vie
vie de peu
où de tout
pieds poings liés
faire le point
à la ligne
ligne de vie
vie et mort
point. c'est tout
beaucoup
De riens en rien je pleure de
riens.
Un rein nous sépare et je n'ai
plus rien à dire.
Voilà...
riens.
Un rein nous sépare et je n'ai
plus rien à dire.
Voilà...
beaucoup
Crépuscule, des bruits épars, le son d'une voix puis suivie de beaucoup d'autres
on s'interpelle. L'atmosphère à cette mollesse de l'aurore quand la journée de labeur recommence. Aujourd'hui devient le centre, l'enjeu principal,on compare cela à une arène, ou un ring, c'est selon l'humeur,mais ça ne change pas grand-chose; à part peut-être l'envie, et encore. Le temps se contente de faire défiler ses heures,il ne se pose pas de questions, il est immatériel, se fout de l'objectif.
Fourmilière, essaim, nid, gîte , ruche humaine, l'espace se consume,pourtant la mort rôde çà et là, cherchant sa quête, avec une sébile en peau véritable.
on s'interpelle. L'atmosphère à cette mollesse de l'aurore quand la journée de labeur recommence. Aujourd'hui devient le centre, l'enjeu principal,on compare cela à une arène, ou un ring, c'est selon l'humeur,mais ça ne change pas grand-chose; à part peut-être l'envie, et encore. Le temps se contente de faire défiler ses heures,il ne se pose pas de questions, il est immatériel, se fout de l'objectif.
Fourmilière, essaim, nid, gîte , ruche humaine, l'espace se consume,pourtant la mort rôde çà et là, cherchant sa quête, avec une sébile en peau véritable.
peu importe
peu importe, si croire se veut tempête
ou vague éternelle dans cet océan dilemme
le jour d'après comme le jour d'avant
le chant du désert inspire l'âme
de celui qui cherche
ou vague éternelle dans cet océan dilemme
le jour d'après comme le jour d'avant
le chant du désert inspire l'âme
de celui qui cherche
peu à peu
Peu à peu disparaissent des corps, des lambeaux de vie
Et le squelette arbore sa blancheur mortuaire.
Que seront les lignes de la main devenues,
Quant au plus fort de leur succès, elles prédisaient.
Une vie d’aventure, sans la dictature féroce
De contraintes envahissantes, d’hystéries de l’ineptie.
Le moment alors prendra la pose, et le linceul son autarcie.
Et le squelette arbore sa blancheur mortuaire.
Que seront les lignes de la main devenues,
Quant au plus fort de leur succès, elles prédisaient.
Une vie d’aventure, sans la dictature féroce
De contraintes envahissantes, d’hystéries de l’ineptie.
Le moment alors prendra la pose, et le linceul son autarcie.
peu à peu
J’aime bien celui-ci.
peu à peu
merci
c'est une des déclinaisons
c'est une des déclinaisons
peu à peu
Dans la série, je trouve bons et intéressants les trois des derniers, le 3 un peu plus que le 2 un peu plus que le 1
La poésie s'échappe de nous on dirait parfois, quand on la retrouve
La poésie s'échappe de nous on dirait parfois, quand on la retrouve
peuchère
peuchère, et même peu cher, c'est peu de chose une vie
on naît on nuit, on brille, néon
on vomi,on végète, on crie, on croit
on jouit on jette, on dit on deale
un jour de plus un jour encore un jour pourquoi un jour pour qui
le prix rassure le prix n'en a cure
l'illusion vaut un rire
un pleur ne coûte rien
seule la fin est risible, car la fain agonise
l'enveloppe corporelle
s'en aller à tire-d'aile
on naît on nuit, on brille, néon
on vomi,on végète, on crie, on croit
on jouit on jette, on dit on deale
un jour de plus un jour encore un jour pourquoi un jour pour qui
le prix rassure le prix n'en a cure
l'illusion vaut un rire
un pleur ne coûte rien
seule la fin est risible, car la fain agonise
l'enveloppe corporelle
s'en aller à tire-d'aile