8 poèmes smart phone
Ce n’était pas le songe d’une femme
Mais le songe d’une éternité malade
Je me levais dans son humidité
Perturbé par la misère
Pourtant bien éternelle
Du songe délirant et superbe
Que j’avais mûri dans un quasi sommeil
Elle était là au réveil
Mais le songe fut sincère
Et ne pensait qu’à lui-même :
Une disparité puissante
De déchirures, de musiques
Et d’une banlieue souffrante.
Il n’y a pas un souffle
Il n’y a que toi
Je t’avais dit
Qu’en de stables palmeraies
Il n’y a pas un seul insecte vois tu
Dans ce monde contemporain
Où l’on a détruit la biosphère
Il n’y a que toi
Et tu es sèches
Tes lèvres que j’embrasse
Sont des jalousies anciennes
Où brûle la lumière
De ta sécheresse.
Le matin quand je fais des rêves expressifs. D’une nation
Ouvrant le creuset de la chair
Je meurs d’avoir vécu
Comme une orange amère
Déconfite dans le sang de la terre.
Est-ce la seule clef d’avoir souffert
De tant aimer
Une chose qui n’a prise
Ailleurs qu’en l’univers.
Dans ton jardin où l’on ne ressent rien
Pourtant lieu de commémoration
Où le soir la narcose des fleurs
Agit de cette manière
Qu’ont les choses précieuses de s’ouvrir
Et de ne rien laisser ciller
Je t’aime autant que le monde
Congédie les valeurs inscrites
Sur le tableau du néant
C’est une manière de ciller
Et d’expédier les valeurs fossiles
Que de voir sur tes lèvres
Et ta bouche gracile
Les mers du levant
Qu’il soit dit que tu es belle
Et que je souffre cette beauté
Sur l’autel du vent
Le sentiment du monde
Au cœur de la Lorraine
Est un vent puissant
Qui balaie ce monde
Je t’aime comme les angles vivants
Qui sèment un trouble
Dans le corps du levant
Le monde sans violence
De ta bouche et tes hanches
Est un mont grelottant
Dans les antres d’une ourse
Tu es unique, une et singulière
Irina comme une allée princière
Les angles de ta bouche
Et la singularité de ton visage
Irina me font miennes
Les amours qui t’appartiennent
Tu es belle comme une souche
Que j’affectionne
Et les perles que tu confectionnes
M’accorderais tu, belle adolescente
Qu’au-delà de tes formules glaçantes
Qui me sont adressées
Ainsi que des déferlantes
Je puisse avoir une prise
Sur tes joues et ton corps défendu
Toi qui me brises ainsi que ta salive.
Mais le songe d’une éternité malade
Je me levais dans son humidité
Perturbé par la misère
Pourtant bien éternelle
Du songe délirant et superbe
Que j’avais mûri dans un quasi sommeil
Elle était là au réveil
Mais le songe fut sincère
Et ne pensait qu’à lui-même :
Une disparité puissante
De déchirures, de musiques
Et d’une banlieue souffrante.
Il n’y a pas un souffle
Il n’y a que toi
Je t’avais dit
Qu’en de stables palmeraies
Il n’y a pas un seul insecte vois tu
Dans ce monde contemporain
Où l’on a détruit la biosphère
Il n’y a que toi
Et tu es sèches
Tes lèvres que j’embrasse
Sont des jalousies anciennes
Où brûle la lumière
De ta sécheresse.
Le matin quand je fais des rêves expressifs. D’une nation
Ouvrant le creuset de la chair
Je meurs d’avoir vécu
Comme une orange amère
Déconfite dans le sang de la terre.
Est-ce la seule clef d’avoir souffert
De tant aimer
Une chose qui n’a prise
Ailleurs qu’en l’univers.
Dans ton jardin où l’on ne ressent rien
Pourtant lieu de commémoration
Où le soir la narcose des fleurs
Agit de cette manière
Qu’ont les choses précieuses de s’ouvrir
Et de ne rien laisser ciller
Je t’aime autant que le monde
Congédie les valeurs inscrites
Sur le tableau du néant
C’est une manière de ciller
Et d’expédier les valeurs fossiles
Que de voir sur tes lèvres
Et ta bouche gracile
Les mers du levant
Qu’il soit dit que tu es belle
Et que je souffre cette beauté
Sur l’autel du vent
Le sentiment du monde
Au cœur de la Lorraine
Est un vent puissant
Qui balaie ce monde
Je t’aime comme les angles vivants
Qui sèment un trouble
Dans le corps du levant
Le monde sans violence
De ta bouche et tes hanches
Est un mont grelottant
Dans les antres d’une ourse
Tu es unique, une et singulière
Irina comme une allée princière
Les angles de ta bouche
Et la singularité de ton visage
Irina me font miennes
Les amours qui t’appartiennent
Tu es belle comme une souche
Que j’affectionne
Et les perles que tu confectionnes
M’accorderais tu, belle adolescente
Qu’au-delà de tes formules glaçantes
Qui me sont adressées
Ainsi que des déferlantes
Je puisse avoir une prise
Sur tes joues et ton corps défendu
Toi qui me brises ainsi que ta salive.
8 poèmes smart phone
le progrès ne relègue en rien la valeur des mots, des sentiments, de l'amour
Souchon chanterait
passez notre amour au telephone par le clavier
pour voir si la puissance des mots va engendrez
la passion necessaire pour vivre ces instants
et continuer d'aimer sans jamais perdre son temps
Souchon chanterait
passez notre amour au telephone par le clavier
pour voir si la puissance des mots va engendrez
la passion necessaire pour vivre ces instants
et continuer d'aimer sans jamais perdre son temps
8 poèmes smart phone
Et si tout simplement il ne s'agissait pas de progrès mais d'habitude et de moyen ?
Qui chante cela ?
Et pourquoi commenter le titre ?
Qui chante cela ?
Et pourquoi commenter le titre ?
8 poèmes smart phone
par smart phone souvent l'écrit n'a pas la même force, alors que dans ton écrit je trouvais justement le contraire
pour la chanson c'est un clin d'oeil, un trait d'humour, désolé si cela à l'air de t'avoir vexé
pour la chanson c'est un clin d'oeil, un trait d'humour, désolé si cela à l'air de t'avoir vexé
8 poèmes smart phone
Bonne journée sobac
8 poèmes smart phone
itou
8 poèmes smart phone
douleur, amour douloureux
mais amour quand même
l'univers périssant jouxtant l'intime
perte, course, envie,
urgence
vérité sur smartphone, sans possibilité de recul, de réécriture,
écrit et envoyé presque en temps réel
mais amour quand même
l'univers périssant jouxtant l'intime
perte, course, envie,
urgence
vérité sur smartphone, sans possibilité de recul, de réécriture,
écrit et envoyé presque en temps réel
8 poèmes smart phone
Ouf! Certains passages sont d'une grande intensité. L'amour reconstruit un univers jette un voile sur un quotidien que je sens oppressant, nourrit des rêves d'évasion et l'espoir d'une liberté.
8 poèmes smart phone
Pas vraiment d'espoir d'une liberté (je n'y crois pas) mais une conscience de la finitude et du renouvellement comme le rêve en lui-même ou l'espace d'un jour et d'une nuit. Principal voire seul désir de liberté : obtenir une belle somme d'argent pour assurer mon avenir.
8 poèmes smart phone
Bonjour Florian, qui se fout aujourd'hui des conditions matérielles d'existence de ses semblables ? Progres-sivement, de moins en moins écoutent l'autre, mais se recroquevillent sur leurs biens, qu'ils soient modestes ou étendus, voire démesurés. A qui profite cet individualisme ? Les choses sont limpides. Et sans partages, grands et petits, tout le monde sera perdant au bout du compte.
8 poèmes smart phone
oui Florian c’est pas bô de vouloir de l’argent pour se sentir un peu libre et en sécurité.
P’tain Phil, le ton moralisateur et radoteur de tous tes posts me sort par les yeux. C’est bien triste ce que tu es devenu.
P’tain Phil, le ton moralisateur et radoteur de tous tes posts me sort par les yeux. C’est bien triste ce que tu es devenu.
8 poèmes smart phone
Triste toi-même !
Ne me lis plus et passe ton chemin, pas de souci.
Ne me lis plus et passe ton chemin, pas de souci.