ImagInde
dansons nos édens
adossés à des années
de mondes nomades
ni éclipse, ni censure
ni ennui ne les ternissent
des alliés patients
artistes sculpteurs butinent
les élans sans crainte
adossés à des années
de mondes nomades
ni éclipse, ni censure
ni ennui ne les ternissent
des alliés patients
artistes sculpteurs butinent
les élans sans crainte
ImagInde
imagine un oasis
vers des lendemains
ou se dessinent
l'horizon,ce diablotin
vers des lendemains
ou se dessinent
l'horizon,ce diablotin
ImagInde
un peu de nostalgie d'un monde jamais vécu
avec l'espoir vivant des artistes
leurs promesses perfectibles ?
avec l'espoir vivant des artistes
leurs promesses perfectibles ?
ImagInde
Imaginer cela est une forme de censure et d'aristocratie.
Il faut être plus rustre pour le vivre et laisser son imagination à d'autres choses plus élémentaires.
J'improvise..
Si je m'intéresse à Diogène le cynique c'est que je tente de voir dans quelles conditions cet imaginaire est réalisable loin de toute forme d idealisation.
Sinon il suffit d'avoir une belle maison et une nature contemplative. Ce qui va mal ensemble sur le long terme à moins d'être héritier.
Si quelqu'un veut me faire hériter ici d'une belle maison qu'il ne s'en prive pas une seule seconde.
Il faut être plus rustre pour le vivre et laisser son imagination à d'autres choses plus élémentaires.
J'improvise..
Si je m'intéresse à Diogène le cynique c'est que je tente de voir dans quelles conditions cet imaginaire est réalisable loin de toute forme d idealisation.
Sinon il suffit d'avoir une belle maison et une nature contemplative. Ce qui va mal ensemble sur le long terme à moins d'être héritier.
Si quelqu'un veut me faire hériter ici d'une belle maison qu'il ne s'en prive pas une seule seconde.
ImagInde
c’est quoi le contraire d’un poison ?
Le poème instille plus fort à chaque lecture une sorte de nostalgie agissante, le désir d’un lieu et d’un monde où l’on pourrait être soi-même, avec tout ce qu’on a traversé, un monde de liberté créatrice.
te connaissant je ne doute pas que quelque contrainte ait conduit à cette magie.
Le titre énigmatique me renvoie à une terre légendaire .
Le poème instille plus fort à chaque lecture une sorte de nostalgie agissante, le désir d’un lieu et d’un monde où l’on pourrait être soi-même, avec tout ce qu’on a traversé, un monde de liberté créatrice.
te connaissant je ne doute pas que quelque contrainte ait conduit à cette magie.
Le titre énigmatique me renvoie à une terre légendaire .
ImagInde
Je ne suis pas sûr que la liberté soit créatrice.
ImagInde
Ce n’est pas ce que j’ai dit. La contrainte, l’enfermement peuvent être puissamment créateurs et la liberté peut n’être que la joie de la liberté. Mais là je ressens les deux : liberté, création, au moins celle des autres.
ImagInde
ImagInde
Je laisse Seyne et Florian à leur échange obscur.
Ce poème est tout simplement une rêverie illustrée à partir d'une statue indienne (reproduction photographique) du XI siècle, voir là
https://www.amazon.fr/Rasa-neuf-visages-lart-indien/dp/2865450430 (sans pub pour amazon)
Un érotisme parfaitement assumé, joint à une grande douceur.
Et les statues de ce genre sont aussi nombreuses, aussi typiques que les koré grecques.
Amicalement
Ce poème est tout simplement une rêverie illustrée à partir d'une statue indienne (reproduction photographique) du XI siècle, voir là
https://www.amazon.fr/Rasa-neuf-visages-lart-indien/dp/2865450430 (sans pub pour amazon)
Un érotisme parfaitement assumé, joint à une grande douceur.
Et les statues de ce genre sont aussi nombreuses, aussi typiques que les koré grecques.
Amicalement
ImagInde
:)
obscurité pour obscurité, est-ce que tu peux nous dire quelque chose du titre ? Il m'a conduit par ses sonorités plus du côté nordique que du côté indien, et j'avais plus imaginé un peuple et une ère mythique qu'une statue.
obscurité pour obscurité, est-ce que tu peux nous dire quelque chose du titre ? Il m'a conduit par ses sonorités plus du côté nordique que du côté indien, et j'avais plus imaginé un peuple et une ère mythique qu'une statue.
ImagInde
2 blogs de qualité, sans nulle doute.
beaucoup de matériel à découvrir ...
malheureusement c'est sur écran, et la lecture sur écran fatigue vite ...
beaucoup de matériel à découvrir ...
malheureusement c'est sur écran, et la lecture sur écran fatigue vite ...
ImagInde
anne archet semble être un peu connue.
l'autre part contre, jamais entendu parler, c'est qui ?
l'autre part contre, jamais entendu parler, c'est qui ?
ImagInde
Il n'y a pas plus obscur qu'une statue !
ImagInde
oui, surtout l'intérieur !
ImagInde
après examen rapide :
archet > pas pour moi.
aomphal > peut être des choses bien, mais noyées dans beaucoup de poncifs.
archet > pas pour moi.
aomphal > peut être des choses bien, mais noyées dans beaucoup de poncifs.
ImagInde
Claire comment apprécier une statue sans intériorité ? C'est l'extérieur qui est obscur.
ImagInde
le titre : imag(Ind)e -- (imag)Inde -- imagin(d)e
le sujet du poème est ce que j'imagine, à partir d'une image qui vient de l'Inde.
On appelle ça un mot-valise.
le sujet du poème est ce que j'imagine, à partir d'une image qui vient de l'Inde.
On appelle ça un mot-valise.
ImagInde
Un mot-valise pour une imagination sans passeport. Tout est là : comment donc concrétiser ce voyage quand le langage lui même sème ses premières embûches ?
ImagInde
ah oui... pour moi la cinquième lettre était un l minuscule, et donc le mot était on ne peut plus obscur.
de l'intérêt d'une typographie aussi différenciante que possible.
de l'intérêt d'une typographie aussi différenciante que possible.
ImagInde
peut-être mon esprit a-t-il été fasciné par "glande" - ce qui expliquerait ma semi-cécité, ou bien n'accepte-t-il pas qu'une majuscule occupe le milieu d'un mot ?
C'est particulier : la distinction entre I majuscule et l minuscule apparaît lorsqu'on écrit le message mais disparaît quand le message est posté.
non, elle disparaît quand le l minuscule est au milieu d'un mot.
C'est particulier : la distinction entre I majuscule et l minuscule apparaît lorsqu'on écrit le message mais disparaît quand le message est posté.
non, elle disparaît quand le l minuscule est au milieu d'un mot.