ils
ls s’attablèrent autour d’un pêcher, leurs âmes étaient noires
quand le vin est tiré il faut savoir en partager les fruits
l’aîné imposa sa carrure en guise d'idées , c'est dire la pensée
voilà comment débutèrent les atermoiements en sus
ils picolèrent jusqu'à tombé ,mais la nuit ne porte plus conseil
il en ait des heures assassines comme des abcès de foies
le cadet ne put empêcher la mort de venir le cherché
la girouette du cloché indiquait une brise en devenir
dés l'aube les langues se délièrent, la rumeur cette gangrène
quand la messe est dite, le parvis, as ton avis, c'est cuit
le benjamin s’offrit au bar le luxe d'en avoir encore
le coq sur son fumier fit écho aux on-dit que, c'est ainsi
ils ne feront pas carrière, ni dans la vigne ,ni dans la victoire
il en ait des écervelés atrabilaires, comme des vérités cachées
la fratrie ne fera plus danser dans les chaumières, de ce fait
le corbillard se fout de la vieillesse, les corps , quels lapsus
quand le vin est tiré il faut savoir en partager les fruits
l’aîné imposa sa carrure en guise d'idées , c'est dire la pensée
voilà comment débutèrent les atermoiements en sus
ils picolèrent jusqu'à tombé ,mais la nuit ne porte plus conseil
il en ait des heures assassines comme des abcès de foies
le cadet ne put empêcher la mort de venir le cherché
la girouette du cloché indiquait une brise en devenir
dés l'aube les langues se délièrent, la rumeur cette gangrène
quand la messe est dite, le parvis, as ton avis, c'est cuit
le benjamin s’offrit au bar le luxe d'en avoir encore
le coq sur son fumier fit écho aux on-dit que, c'est ainsi
ils ne feront pas carrière, ni dans la vigne ,ni dans la victoire
il en ait des écervelés atrabilaires, comme des vérités cachées
la fratrie ne fera plus danser dans les chaumières, de ce fait
le corbillard se fout de la vieillesse, les corps , quels lapsus
ils
Ils croient que
Qu’ils me connaissent
Mais eux se connaissent’ ils
Moi j’offre la face qui m’arrange
Et j’en change quand je veux des louanges
Sinon c’est silence
Qu’ils me connaissent
Mais eux se connaissent’ ils
Moi j’offre la face qui m’arrange
Et j’en change quand je veux des louanges
Sinon c’est silence
ils
Ils s’attablèrent autour d’un pêcher,
leurs âmes étaient noires,
ils picolèrent jusqu'à tomber,
la girouette du clocher
indiquait une brise à venir,
le cadet ne put empêcher
la mort de venir le chercher,
dés l'aube les langues se délièrent,
ils ne feront pas carrière,
de ce fait,
le corbillard se fout de la vieillesse.
leurs âmes étaient noires,
ils picolèrent jusqu'à tomber,
la girouette du clocher
indiquait une brise à venir,
le cadet ne put empêcher
la mort de venir le chercher,
dés l'aube les langues se délièrent,
ils ne feront pas carrière,
de ce fait,
le corbillard se fout de la vieillesse.
ils
c'est concis , j'aime bien que tu fasses le job
merci
merci
ils
c'est vrai que pour moi ça suffirait
évidemment avant je suis préparé par la lecture de ton texte global
je suis content que tu le prennes bien
j'aime bien écrire à partir de l'autre, quand il m'inspire,
c'est souvent le cas avec toi
je désosse seulement
évidemment avant je suis préparé par la lecture de ton texte global
je suis content que tu le prennes bien
j'aime bien écrire à partir de l'autre, quand il m'inspire,
c'est souvent le cas avec toi
je désosse seulement
ils
je crois que le but des forums d'écriture ce sont les échanges que l'on peut avoir
sans prise de tête ou apriori
comme toi parfois en réponse je met mes mots
Ils tuèrent le veau d'or
cet or dont on dit qu'il rend fou
la peine, elle, ne bafoue
jamais la mort
sans prise de tête ou apriori
comme toi parfois en réponse je met mes mots
Ils tuèrent le veau d'or
cet or dont on dit qu'il rend fou
la peine, elle, ne bafoue
jamais la mort