silence
Il neige un silence immaculé
la place vide aspire l’énergie
où sont les passantes sans soucis
l’heure du thé quand la parole naît
un banc s’interroge en vain, décès,
l’arbre son ami sans alibis
où dormir la nuit, les chats sont gris
cette peur à l’accent vérité
des masques çà et là apostrophent
la vie futile, les allusions
il pleut, on accuse les postillons
quand les cloches sonnent à l’unisson
un chant monte des gorges autochtones
les pièces tombent pour l’aumône
la place vide aspire l’énergie
où sont les passantes sans soucis
l’heure du thé quand la parole naît
un banc s’interroge en vain, décès,
l’arbre son ami sans alibis
où dormir la nuit, les chats sont gris
cette peur à l’accent vérité
des masques çà et là apostrophent
la vie futile, les allusions
il pleut, on accuse les postillons
quand les cloches sonnent à l’unisson
un chant monte des gorges autochtones
les pièces tombent pour l’aumône
silence
« de ses sons qu'on oublie
de l'absence de vie
de regards sans égal
d'un silence brutal »
de l'absence de vie
de regards sans égal
d'un silence brutal »
silence
« confiner la vie
au non de la vérité
silence sans fin »
« les larmes muettes
emplissent l’air de tristesse
silence complice »
« côtoyait les autres
quel avenir lapidaire
silence éternel »
au non de la vérité
silence sans fin »
« les larmes muettes
emplissent l’air de tristesse
silence complice »
« côtoyait les autres
quel avenir lapidaire
silence éternel »
silence
Oui, quand tu prends ton temps, tu écris des poèmes pleins de vérité, d’un regard attentif et juste.
silence
merci Claire