411
esquisse langoureux voix vent entrailles édifice oeuvre lune louve mue
des entrailles à l’œil de l’édifice à l’oeuvre
j’ai fais veux de tristesse puis d’effacement
l’esquisse d’un sourire et des yeux de ciment
permettent de cacher endogènes manœuvres
la fête me fait mal paraître me dégoûte
ne suis vraiment chez moi que dans art et pensée
et mon corps est un squat appartient au passé
j’y passe en coup de vent me glisse entre les gouttes
pourtant ça tonne en haut une voix furieuse
m’enjoint d’écrire encor de créer à la mort
quand la lune se mue en curieux décors
pour la pièce où je joue une vie plus rieuse
je vous jure que j’ai vu des contrées sidérales
mon cerveau est un temple où rêves langoureux
où louves et ruisseaux et lendemains heureux
m’ont perdu et trouvé ma terre est cérébrale
des entrailles à l’œil de l’édifice à l’oeuvre
j’ai fais veux de tristesse puis d’effacement
l’esquisse d’un sourire et des yeux de ciment
permettent de cacher endogènes manœuvres
la fête me fait mal paraître me dégoûte
ne suis vraiment chez moi que dans art et pensée
et mon corps est un squat appartient au passé
j’y passe en coup de vent me glisse entre les gouttes
pourtant ça tonne en haut une voix furieuse
m’enjoint d’écrire encor de créer à la mort
quand la lune se mue en curieux décors
pour la pièce où je joue une vie plus rieuse
je vous jure que j’ai vu des contrées sidérales
mon cerveau est un temple où rêves langoureux
où louves et ruisseaux et lendemains heureux
m’ont perdu et trouvé ma terre est cérébrale
Les mots de Céciles
dsl j'avais interverti titre et nom
411
et mon corps est un squat appartient au passé
j’y passe en coup de vent me glisse entre les gouttes
tu es encore jeune, tas le temps de faire de ton corps un ami car l'écorce d'un arbre permet a celui ci de s'isoler sans être étranger a soi même
bon texte avec les mots
j’y passe en coup de vent me glisse entre les gouttes
tu es encore jeune, tas le temps de faire de ton corps un ami car l'écorce d'un arbre permet a celui ci de s'isoler sans être étranger a soi même
bon texte avec les mots
411
Louve égarée dans la combustion humaine
découvre les entrailles d’un monde usé.
mais nulle voix ne s’accorde sur les séquelles
le manque d’amour esquisse les semaines
Lune rousse abat grands vents , gelées imposent
d’imaginer d’autres édifices éphémères
sommeillent quelques idées de mue précoces
dans la routine atomisée des psychoses
Un langoureux regard persiste pourtant
défiant le chaos vespéral promis
signe d’un chant mélodieux afin que l’œuvre
demeure un but accueillant l’arc-boutant
découvre les entrailles d’un monde usé.
mais nulle voix ne s’accorde sur les séquelles
le manque d’amour esquisse les semaines
Lune rousse abat grands vents , gelées imposent
d’imaginer d’autres édifices éphémères
sommeillent quelques idées de mue précoces
dans la routine atomisée des psychoses
Un langoureux regard persiste pourtant
défiant le chaos vespéral promis
signe d’un chant mélodieux afin que l’œuvre
demeure un but accueillant l’arc-boutant
411
C'est pas mal 411, mais on aurait envie que cela soit moins "littéraire", précieux
dans le vocabulaire,
peut-être laisser passer d'avantage d'émotion,
équilibrer plus l'abstrait et le concret,
trouver un style qui nous parle un peu plus, sans bien sûr être réducteur,
conserver l'exigence d'introspection,
enfin une poésie vivante quoi
si tu me permets ces remarques spontanées de lecteur
dans le vocabulaire,
peut-être laisser passer d'avantage d'émotion,
équilibrer plus l'abstrait et le concret,
trouver un style qui nous parle un peu plus, sans bien sûr être réducteur,
conserver l'exigence d'introspection,
enfin une poésie vivante quoi
si tu me permets ces remarques spontanées de lecteur
411
j’ai fais voeux de tristesse puis d’effacement,
et mon corps est un squat qui appartient au passé
j’y passe en coup de vent me glisse entre les gouttes
pourtant ça tonne en haut une voix furieuse
m’enjoint d’écrire encor de créer à la mort
quand la lune se mue en curieux décors
pour la pièce où je joue une vie plus rieuse
je vous jure que j’ai vu des contrées sidérales
mon cerveau est un temple où rêves langoureux
où louves et ruisseaux et lendemains heureux
m’ont perdu et trouvé, ma terre est cérébrale
et mon corps est un squat qui appartient au passé
j’y passe en coup de vent me glisse entre les gouttes
pourtant ça tonne en haut une voix furieuse
m’enjoint d’écrire encor de créer à la mort
quand la lune se mue en curieux décors
pour la pièce où je joue une vie plus rieuse
je vous jure que j’ai vu des contrées sidérales
mon cerveau est un temple où rêves langoureux
où louves et ruisseaux et lendemains heureux
m’ont perdu et trouvé, ma terre est cérébrale