j'ai vu
j’ai vu le jour pâlir entre deux larmes
la mort s’exhibait avec hargne
des paroles échangées
sur fond de comédie humaine
la nuit dans ses filets propices
attisait l’odeur charnelle
le froid avait cette présence
qu’aucune phrase dénonçait
derrière en arrière-plan, l’éphémère
vivait ses derniers instants
ici-bas gît son dernier râle
la pluie redoubla
les yeux mouillés d’avoir braver
le temps illustre messager
donna des sueurs glacées
l’écho les amplifia
sur le trottoir usé
le pied d’un anonyme
martela l’inégalité des chances
l’alcool s’infiltrait
après personne ne se souvint
si l’argent plaidoyer ou corrompez
brouillard, son mystère
occulta les remords
la mort s’exhibait avec hargne
des paroles échangées
sur fond de comédie humaine
la nuit dans ses filets propices
attisait l’odeur charnelle
le froid avait cette présence
qu’aucune phrase dénonçait
derrière en arrière-plan, l’éphémère
vivait ses derniers instants
ici-bas gît son dernier râle
la pluie redoubla
les yeux mouillés d’avoir braver
le temps illustre messager
donna des sueurs glacées
l’écho les amplifia
sur le trottoir usé
le pied d’un anonyme
martela l’inégalité des chances
l’alcool s’infiltrait
après personne ne se souvint
si l’argent plaidoyer ou corrompez
brouillard, son mystère
occulta les remords
j'ai vu
C'est un instant saisissant de notre histoire
Par contre je n'ai trop bien compris la dernière strophe
Par contre je n'ai trop bien compris la dernière strophe
j'ai vu
C'est pas mal mais c'est quoi cette dernière strophe ! elle pique les yeux.
j'ai vu
cette dernière strophe sert uniquement par son coté ''a part du texte"
parce que chaque fin est une imagination personnelle
merci a vous
parce que chaque fin est une imagination personnelle
merci a vous
j'ai vu
j'ai vu n'est pas une injection, ni une affirmation au sens littéraire, j'ai vu est l'engrais des ans, le terreau en devenir , en un mot le ressenti
j'ai vu
en réfléchissant sur la dernière strophe, j'ai réécrit celle ci
après s’évapora la léthargie
dans un brouillard malsain
gelant les os
occultant les remords
après s’évapora la léthargie
dans un brouillard malsain
gelant les os
occultant les remords
j'ai vu
Chaque fin est toujours imaginaire, car il n'y jamais de fin,
si ce n'est que celle qu'une forme impose.
Ton poème est très bien, il pourrait se passer de la dernière strophe,
puisque celle-ci est le commencement d'autre chose...
si ce n'est que celle qu'une forme impose.
Ton poème est très bien, il pourrait se passer de la dernière strophe,
puisque celle-ci est le commencement d'autre chose...
j'ai vu
exactement , c'est ce que je me disais,
merci
merci