Ô que le jour est bon
Signal d'alerte
La beauté vient
Un jaune effaré cligne des yeux
Et les stries d'hirondelles zèbrent le ciel qui s'ouvre
Feuillages à l'affût
Comme un sourire penché
Sur les fleurs du balcon
L’esprit de l’avenue s’irise
Goutte d’eau au creux de la main
Tant d’attentes écloses, tant d’ardeurs
Dans l’orchestre des balayeuses
Quand encore tout est possible
Ô vierges heures de l’aube
Que le jour est bon
Toujours recommencé
Lorsqu’une à une les ombres
Prennent corps globes célestes
Prime vigueur baptise-moi
Dans le grand fleuve humain
Dans le grand fleuve humain ô que le jour est bon
Toujours recommencé
La beauté vient
Un jaune effaré cligne des yeux
Et les stries d'hirondelles zèbrent le ciel qui s'ouvre
Feuillages à l'affût
Comme un sourire penché
Sur les fleurs du balcon
L’esprit de l’avenue s’irise
Goutte d’eau au creux de la main
Tant d’attentes écloses, tant d’ardeurs
Dans l’orchestre des balayeuses
Quand encore tout est possible
Ô vierges heures de l’aube
Que le jour est bon
Toujours recommencé
Lorsqu’une à une les ombres
Prennent corps globes célestes
Prime vigueur baptise-moi
Dans le grand fleuve humain
Dans le grand fleuve humain ô que le jour est bon
Toujours recommencé
Ô que le jour est bon
quand le jour offre des reflets
la vie devient légère
nature beauté de l'instant
au dessus d'un vol de gerfauts
la vie devient légère
nature beauté de l'instant
au dessus d'un vol de gerfauts
Ô que le jour est bon
le gerfaut, bel oiseau et beau nom
Ô que le jour est bon
Un hymne à la joie
le plus silencieux mais que l'âme entend
(j'aime bien certains oxymores)
le plus silencieux mais que l'âme entend
(j'aime bien certains oxymores)
Ô que le jour est bon
merci vraiment. Je cherchais à exprimer l'émerveillement, c'est très proche de la joie.
Ô que le jour est bon
Signal d'alerte
La beauté vient
Un jaune effaré cligne des yeux
Et les stries d'hirondelles zèbrent le ciel qui s'ouvre
Feuillages à l'affût
Comme un sourire penché
Sur les fleurs du balcon
L’esprit de l’avenue s’irise
Goutte d’eau au creux de la main
Tant d’attentes écloses, tant d’ardeurs
Dans l’orchestre des balayeuses
Quand encore tout est possible
Ô vierges heures de l’aube
Que le jour est bon
Toujours recommencé
Lorsqu’un à un les êtres
D'or vivant prennent corps
Et vibrent d'un même élan
Prime vigueur baptise-moi
Dans le grand fleuve humain
Toujours recommencé
La beauté vient
Un jaune effaré cligne des yeux
Et les stries d'hirondelles zèbrent le ciel qui s'ouvre
Feuillages à l'affût
Comme un sourire penché
Sur les fleurs du balcon
L’esprit de l’avenue s’irise
Goutte d’eau au creux de la main
Tant d’attentes écloses, tant d’ardeurs
Dans l’orchestre des balayeuses
Quand encore tout est possible
Ô vierges heures de l’aube
Que le jour est bon
Toujours recommencé
Lorsqu’un à un les êtres
D'or vivant prennent corps
Et vibrent d'un même élan
Prime vigueur baptise-moi
Dans le grand fleuve humain
Toujours recommencé