Flaubert chez les Bretons - nos amis les bêtes

par Essim, samedi 05 novembre 2016, 17:41 (il y a 2738 jours) @ Rémy

Bon bon, mon intention n'était pas de faire lire ce qui suit, mais pour ta culture Rémy ça parait nécessaire :

Fouché, désignant la Bretagne et les Bretons, en 1794 :
» Il ne s’agit pas de faire le tri des bons et des méchants : DANS CE PAYS MAUDIT, il ne peut y avoir que des coupables « .
LA BRETAGNE : UNE COLONIE. LES BRETONS : UN PEUPLE PRIMITIF A COLONISER.
Michelet, 1831 : » La Bretagne est une colonie, comme l’Alsace et les Basques, plus que la Guadeloupe « .
Auguste Romieu, sous-préfet de Quimperlé, 1831 :
» La Bretagne est une contrée à part, qui n’est plus la France. Exceptez-en les villes, LE RESTE DEVRAIT ETRE SOUMIS A UNE SORTE DE REGIME COLONIAL « .
LES BRETONS : UNE RACE A ENGRAISSER, COMME LES ANIMAUX :
Auguste Romieu, 1831 : » Créons, POUR L’AMELIORATION DE LA RACE BRETONNE, quelques unes de ces primes QUE NOUS RESERVONS AUX CHEVAUX « .
LES BRETONS : DES SAUVAGES, TOUT JUSTE DES ANIMAUX.
Malte BRUN, 1831 :
» Les Bas-Bretons ont un langage dur et difficile à comprendre. Leurs habitudes, leurs coutumes, leur crédulité et leurs superstitions leur laissent A PEINE UNE PLACE AU DESSUS DE L’HOMME SAUVAGE « .
LES BRETONS : DES ETRES SALES, DEGOUTANTS, MALPROPRES :
Malte Brun, 1831 :
» Le paysan y est d’une malpropreté dégoûtante; son habitation peut presque se comparer à celle des Hottentots … les paysans ont une mauvaise physionomie, stupide et brutale à la fois « .
LES ENFANTS BRETONS ET LES PORCS : des frères de race, qu’on peine à distinguer :
Prosper MERIMEE, lettre à Jubert de Passa, 1835 :
» On voit dans les villages les enfants et les cochons se roulant pêle-mêle sur le fumier; la pâtée que mangent les premiers serait probablement refusée par les cochons du Canigou « .
Poitrineau, inspecteur d’académie à Vannes, Instruction, 1897 :
» Le petit breton ……. dès qu’il peut marcher, à peine vêtu, malpropre, il patauge toute la journée par les chemins, mange à l’écart un morceau de pain noir, joue peu, ne parle pas ….; s’il a huit ans d’âge physiquement, il en a trois à peine pour le développement intellectuel « .
M. BUSSON, Manuel de géographie à l’usage des lycéens, 1929 :
» Les principaux traits de la race bretonne sont la malpropreté, la superstition, et l’ivrognerie « .
PROSPER MERIMEE, lettre à Requien, 1836 : les femmes bretonnes : sales, répugnantes, puantes :
» J’ai fait quatre cent lieues en Bretagne sans déboutonner ma braguette. Impossible de toucher sans pincettes les personnes du sexe de Brest, Morlaix, Saint Brieuc, Rennes, Vannes, Quimper. Ce n’est qu’à Nantes que la Providence m’a envoyé soulagement …. Au lieu de votre joli patois, dont on comprend toujours quelque chose, c’est une langue que le diable a inventée là-bas ….. »


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