coques
je dis comme ça me vient.. ton texte ..quitter, (se) quitter ou regarder ce moment s'agir..il y a ce calme extrème, un détachement plus qu'une distanciation, détachement et je pense : étudié, travaillé, volontaire,
je veux dire engagé, c'est l'assurance de ce calme, le renfort, je veux dire que je sens toute la construction dans le texte même.
j'y crois, forme et fond.
.. il y a la force des représentations, leurs images découpées comme se découpaient des modèles dans les magazines autrefois
..tous ces symboles et jusqu'au bouton de porte, mais tous
puis il y a cet espèce de camaïeu pas bleu, poussièreux, rèche ou finement granulé
et cette teinte-poudre-rugosité, ce timbre, couvre le moindre mot du poème, tout s'y clôt
ensacher ou enchâsser ..je ne sais pas : assassin ou orfêvre, je ne sais pas.. mais
...c'est si posé, déposé, sans rien qui... et puis tout à coup il y a un ciel
(je prends du ciel plein la gueule)
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