tu
l’autre thème du poème, avec ce fleuve sans bord, ce crépuscule, cette falaise, et la scène du gabian, c’est la vie et la mort, pour moi intimement liées au vécu de l'altérité.Invisible/Indivisible est venu tout seul, comme un compagnon étrange qui vous accompagnerait...j’aime les ruptures de registre dans le vocabulaire, mais peut-être c’est trop audacieux de jouer ainsi, peut-être ça me semblera artificiel, on verra. Ça va très bien avec le sens du poème.
Et gabian fait penser à la mer, aux bateaux. C’est sûrement une association avec le début du poème qui a fait ressurgir le souvenir.
Je ne connaissais pas le mot avant cet épisode, c’est un des enfants qui l’a employé. Eux aussi étaient saisis bien sûr.
Parfois on a l’impression que tout s’imbrique en écrivant
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