le pull
il y a un côté Houellebecq de La Carte et le Territoire. Je veux dire, un mélange de narration et de notations techniques/scientifiques/philosophiques qui sur l'ensemble est plaisant à lire et entretient paradoxalement un sentiment de mystère dans cette captation du réel.Sauf dans l'avant-dernier paragraphe, trop long, hélicoïdal, où l'équilibre subtil entre narration (présence d'un sujet) et notations "cliniques" est rompu. Là, pour moi, ça devient un peu chiant, le pull me manque. Mais l'ensemble est bien.
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