Ah quel enfantement que celui de la hase libre poème de Fabrice Selingant

par le Rouge-gorge, dimanche 09 avril 2017, 19:55 (il y a 2576 jours) @ Claire

Vertige, oh sensation douloureuse !

Gérard de Nerval : "Il faut continuer, il est vrai, par : « J'ai z'un coquin de frère… », ou risquer un hiatus terrible ; mais pourquoi aussi la langue a-t-elle repoussé ce z si commode, si liant, si séduisant […] ?" (Gérard de Nerval, Les Filles du feu, Chansons et légendes du Valois, 1854). Là, ça donnerait : La Z hase, alors vraiment, je préfère le terrible hiatus, le germanisme, et même si le zaz ne me déplaît pas, sa musique, ici, serait incongrue...

Fraternellement.

Fabrice le Rouge-gorge

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