Ah quel enfantement que celui de la hase libre poème de Fabrice Selingant

par le Rouge-gorge, lundi 10 avril 2017, 10:51 (il y a 2576 jours) @ Claire

A propos des divers envois de plusieurs, je lis et je m'interroge, le givre est-il par sa grâce fumante, un hasard ; le mer de nuage, une image juste plaquée ; l'observation du ciel aux flammes et sang de déesse, juste une observation d'un ciel couchant sans intérêt ? Toute cette écriture serait uniquement des placages hasardeux, sans pensée et sans poésie ; je ne reprends pas tout mon texte, mais, si volontairement, on s'en arrête au titre, alors, quelle critique de celui qui refuse un germanisme, que pour ma part, je ne veux qu'assumer.

La beauté naturelle du monde et son humanité, de par notre vision volontairement non scientifique, notre chamanisme altruiste, ne méritent-elles pas un égard symbolique ?
Attribuer une part de noûs, d'intelligence et d'âme aux animaux, un crime si grand qu'on en fasse, ici, un procès en sorcellerie ?

Vouloir voir dans l'enfantement, un enchantement, une magie, un charme, est-ce un trouble à l'ordre public ?

Merci à vous, à Claire, à Sobac, à Chrys, à Catr, à José, à Denis, d'aimer et le dire sans complexe, la part aimée et celle qui leur plaît moins. Malgré tout, merci enfin à Rémy, pour sa correction orthographique, le soin maniaque qu'il y apporte, et l'enrichissement, par le sens étymologique qu'il apporte.

Cordialement.
Fabrice le Rouge-gorge

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