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ce qu'il y a de tragique avec la pensée, c'est qu'on ne peut la ramasser de manière excessivement synthétique dans le discours sans courir le risque d'avoir l'air parfaitement gratuit ou dogmatique. ce moment arrive très tôt, quand le langage tombe de fadeur et comme d'impuissance, soit de contradiction en contradiction, devant l'idée qu'il a pour tâche d'exprimer. il faudrait être capable de communiquer avec une exactitude - dont je ne sais trop si elle relève de la science ou de l'art - le chemin qui mène du singulier que je suis à l'universelle clarté de l'intuition.cela dit, je reste ouvert au dialogue.
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vagabond vagabondant,
11/01/2016, 13:33
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vagabond vagabondant,
11/01/2016, 13:35
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Claire,
15/01/2016, 11:16
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vagabond vagabondant,
20/01/2016, 14:05
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dh,
20/01/2016, 14:45
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dh,
20/01/2016, 14:45
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20/01/2016, 14:05
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Claire,
15/01/2016, 11:16
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11/01/2016, 13:35