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Chaque mot de notre langage contient, comme enroulée sur elle-même, une pelote de temps constituée d’opérations historiques. Alors que le prophète et le politicien s’efforcent de sacraliser les mots en occultant leur historicité, il appartient à la philosophie et à la poésie la tache profane de restituer les mots sacralisés à l’usage quotidien : défaire les nœuds de temps, arracher les mots aux vainqueurs pour les remettre sur la place publique, où ils pourront faire l’objet d’une resignification collective.>>>
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