Ah quel enfantement que celui de la hase libre poème de Fabrice Selingant

par Rémy @, vendredi 07 avril 2017, 20:16 (il y a 2788 jours) @ Rémy

C'est néanmoins, même si l'on l'utilise correctement, un mot très laid et très contraire au charme de la belle langue française, que l'hideux z'hiatus a-ha achève de disqualifier. Même Gueute n'en n'eût point voulu. L'on lui préférera la lapine ou la levrette, deux bonnes gauloises à qui tous les grands auteurs accordent de symboliser l'amour et le plaisir.

Si l'on tient à parler d'enfantement et pas d'amour et de plaisir, l'on pourra avantageusement néologiser une fière liévrine ou une douce lévrote. En tout cas, laissons l'anguleuse hase de l'autre côté du Rhin.

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