Troisième discours

par Cerval @, lundi 27 avril 2015, 21:34 (il y a 3500 jours) @ Cerval

CONSÉQUEMMENT : Je pouvais penser à toi durant des heures et des heures, on m’aurait demandé ton prénom que je n’aurais pas su quoi dire... je te regardais allumer tes cigarettes comme si tu leurs demandais pardon pendant que tes gestes, rubans dénoués, tombaient à mes pieds les uns après les autres, toute une collection de la douceur. Puis il fallait tout ranger, et tu mettais à la nuit les étoiles et ta chevelure en un chignon.

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