Flaubert chez les Bretons - nos amis les bêtes

par Écrire, samedi 05 novembre 2016, 16:28 (il y a 2941 jours) @ Rémy

Le ressentiment, c'est terrible. Cela s'apparente à une chute permanente dans laquelle la parade (la critique venimeuse) ne soulage ponctuellement que pour précipiter la descente. Plus on se démène pour abaisser l'autre, plus l'on s'enfonce. L'antidote s'avère un poison féroce. Surenchère infernale.

Flaubert et Céline doivent leur reconnaissance à leurs mérites car avant tout, ce sont des travailleurs acharnés. Du genre à écrire mille pages pour en conserver cinquante. Tout le contraire des cossards de la plume qui, faute de convaincre par leur exemplarité, prétendent se poser en donneurs de leçons.

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